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Maman et papa sauvent le monde (Mom and Dad Save the World)

Samedi 18 Mai à 12:15 | Cinépop

É.-U. 1992. Comédie fantaisiste de Greg Beeman avec Teri Garr, Jeffrey Jones, Jon Lovitz. Tombé amoureux d'une mère de famille terrienne, un empereur intergalactique l'enlève et tente de la séduire, après avoir mis le mari gênant au cachot. Parodie loufoque des films de science-fiction. Inspiration comique inégale. Réalisation colorée. Interprétation dans la note.

Général
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Maman et papa sauvent le monde (Mom and Dad Save the World)

Général Général

É.-U. 1992. Comédie fantaisiste de Greg Beeman avec Teri Garr, Jeffrey Jones, Jon Lovitz.

Tombé amoureux d'une mère de famille terrienne, un empereur intergalactique l'enlève et tente de la séduire, après avoir mis le mari gênant au cachot. Parodie loufoque des films de science-fiction. Inspiration comique inégale. Réalisation colorée. Interprétation dans la note.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
Spengo, empereur de la planète du même nom, veut pulvériser la Terre afin de prouver sa supériorité sur la race humaine. En espionnant les Terriens au moyen d'un énorme télescope, le souverain repère une mère de famille, Marge Nelson, dont il tombe amoureux. C'est ainsi que Marge et son mari Dick font malgré eux le voyage de la Terre à Spengo, à bord de leur automobile aspirée par un puissant rayon. À l'arrivée, Dick est envoyé au cachot, tandis que Marge fait connaissance avec Spengo dont elle repousse en vain les avances. S'étant évadé, Dick se joint à des rebelles du désert afin de prendre le château d'assaut.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Dans la veine parodique d'un Mel Brooks, avec un zeste de comique absurde qui rappelle les Monty Python, les auteurs ont concocté une aventure loufoque qui ne pêche pas par subtilité. Le scénario comprend autant d'idées drôles et imaginatives que d'éléments faciles et simplistes. Par ailleurs, les nombreux stéréotypes puisés dans les histoires classiques d'aventures ne sont pas parodiés avec toute la dérision qu'on aurait souhaitée. Les décors, les costumes et les trucages participent d'un parti pris délibéré de mauvais goût qui ne manque pas de drôlerie et de folie. La mise en scène proprement dite demeure cependant assez banale. Les interprètes jouent avec l'enthousiasme voulu.

Texte : Martin Girard

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