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Louis, enfant roi

Fr. 1992. Drame historique de Roger Planchon avec Maxime Mansion, Carmen Maura, Paolo Graziosi. En 1649, alors que la reine-mère assure la régence jusqu'à la majorité de Louis XIV, une révolte fomentée par des nobles éclate à Paris. Rappel plutôt complexe de faits historiques. Structure dramatique désordonnée. Passages d'un vérisme cru. Scènes de batailles poussives. Jeu théâtral des acteurs.

13 ans + (érotisme)
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Louis, enfant roi (Louis, enfant roi)

13 ans + (érotisme) 13 ans + (érotisme)

Fr. 1992. Drame historique de Roger Planchon avec Maxime Mansion, Carmen Maura, Paolo Graziosi.

En 1649, alors que la reine-mère assure la régence jusqu'à la majorité de Louis XIV, une révolte fomentée par des nobles éclate à Paris. Rappel plutôt complexe de faits historiques. Structure dramatique désordonnée. Passages d'un vérisme cru. Scènes de batailles poussives. Jeu théâtral des acteurs.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Prima Film
1649. Alors que la reine-mère assure la régence jusqu'à la majorité de Louis XIV, une révolte éclate à Paris fomentée par des nobles qui ne supportent plus que la France soit dirigée par Mazarin, un Premier ministre d'origine italienne. Bien qu'assiégés par les troupes royalistes, les intrigants se débattent dans les pires contradictions. La reine et Mazarin utilisent alors toutes ces rivalités afin d'asseoir leur pouvoir. Louis observe ces retournements d'alliance sans toujours en comprendre la portée. Pourtant, entre ses jeux avec son frère Philippe et les moments passés à se déniaiser avec Madame de Beauvais, Louis apprend son métier de roi.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour ceux qui ignorent cet épisode de l'histoire de France, connu sous le nom de Fronde, ce récit paraîtra certainement embrouillé. S'il est vrai qu'il est très ardu de vouloir fidèlement récapituler toutes les incohérences de l'époque, on peut néanmoins se demander quels ont été les motivations qui ont guidé la démarche de l'auteur. Certes, sa fascination sans borne pour ce roi en plein apprentissage de l'exercice du pouvoir ne fait aucun doute, mais sa volonté évidente de démonstration fait régner cependant un laborieux désordre sur la structure dramatique. La truculence des quelques passages teintés d'un vérisme cru contraste avec les scènes poussives de batailles et avec les accents romanesques, voire théâtraux, adoptés par des acteurs fort bons, au demeurant.

Texte : Christian Depoorter

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