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Les Veuves Joyeuses (The Cemetery Club)

É.-U. 1992. Comédie dramatique de Bill Duke avec Ellen Burstyn, Olympia Dukakis, Diane Ladd. Veuves depuis peu, trois amies de longue date envisagent de manière différente leur veuvage. Scénario peu excitant adapté d'une pièce de théâtre. Observations de moeurs sentant le réchauffé. Humour tombant souvent à plat. Mise en scène conventionnelle. Interprétation naturelle de personnages attachants.

Général
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Les Veuves Joyeuses (The Cemetery Club)

Général Général

É.-U. 1992. Comédie dramatique de Bill Duke avec Ellen Burstyn, Olympia Dukakis, Diane Ladd.

Veuves depuis peu, trois amies de longue date envisagent de manière différente leur veuvage. Scénario peu excitant adapté d'une pièce de théâtre. Observations de moeurs sentant le réchauffé. Humour tombant souvent à plat. Mise en scène conventionnelle. Interprétation naturelle de personnages attachants.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Buena Vista
Trois amies de longue date perdent leurs maris à quelques mois d'intervalle. Chacune d'elles envisage son veuvage à sa manière. Lucille désire se venger des infidélités de son mari, Doris vit de ses souvenirs et Esther erre comme une âme en peine. Des trois, c'est elle qui fut la plus amoureuse de son époux. Le destin veut cependant que ce soit Esther qui la première se trouve un nouveau compagnon. Malheureusement, depuis le décès de sa femme, ce dernier a des problèmes émotifs qui l'empêchent de s'engager avec qui que ce soit. Lorsque Doris meurt a son tour, Lucille et Esther revisent leurs priorités.

L’AVIS DE MEDIAFILM

De toutes les réalisations de Bill Duke, celle-ci est sans contredit la plus décevante. CEMETERY CLUB ne possède ni la poésie de DEEP COVER, ni le style flamboyant de A RAGE IN HARLEM. En fait, l'aspect par trop conventionnel de la mise en scène fait croire à un film de commande. Adapté d'une pièce de théâtre, le scénario n'est guère plus excitant. Les observations de moeurs sentent le réchauffé et l'humour des dialogues tombe souvent à plat. Les personnages s'avèrent pourtant attachants mais l'ensemble n'en demeure pas moins lourd. Seule l'interprétation retient vraiment l'attention, en particulier celle d'Ellen Burstyn qui joue avec un naturel désarmant et un sens très fin de l'ironie.

Texte : Johanne Larue

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