Les Vaisseaux du coeur (Salt On Our Skin)

Name: Vaisseaux du coeur, Les
Director: Andrew Birkin
Genre: Mélodrame
Duration: 111 min.

All. 1992. Mélodrame de Andrew Birkin avec Greta Scacchi, Vincent D'Onofrio, Anaïs Jeanneret. La longue liaison amoureuse d'une intellectuelle française et d'un marin écossais. Chronique inspirée de l'oeuvre de Benoîte Groult. Goût prononcé pour la sensiblerie. Illustration "carte postale" d'une gratuité lassante. Mise en scène simple et fluide. Interprètes de talent peu convaincants.

Les Vaisseaux du coeur (Salt On Our Skin)

Général

All. 1992. Mélodrame de Andrew Birkin avec Greta Scacchi, Vincent D'Onofrio, Anaïs Jeanneret.

La longue liaison amoureuse d'une intellectuelle française et d'un marin écossais. Chronique inspirée de l'oeuvre de Benoîte Groult. Goût prononcé pour la sensiblerie. Illustration "carte postale" d'une gratuité lassante. Mise en scène simple et fluide. Interprètes de talent peu convaincants.

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Genre :

Mélodrame

Année :

1992

Durée :

111 min.

Réalisation :

Andrew Birkin

Pays :

Allemagne

Distributeur :

Malofilm

Interprètes :

Greta Scacchi
Vincent D'Onofrio
Anaïs Jeanneret

Chaque été, George passe ses vacances dans un village écossais. En cette année 58, l'adolescente tombe sous le charme de Gavin, un voisin un peu fruste qui se destine au métier de marin-pécheur. A son retour en France, malgré sa relation avec son professeur de piano, George n'oublie pas sa passion pour l'Ecossais; passion bientôt ravivée par la visite surprise du jeune homme. Mais George refuse la demande en mariage de son amant, estimant que leurs horizons divergent bien trop. Une décennie plus tard, George croise à Londres Gavin, maintenant père de famille. Malgré ses réticences, le marin renoue avec cette intellectuelle si différente de lui. Les amants se donnent alors rendez-vous aux îles Vierges.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Visiblement destinée à un public friand de romances surannées dans le genre roman-photos, cette chronique amoureuse a été exécutée à partir d'une conception totalement artificielle de l'art cinématographique. Les relations établies entre les personnages relèvent plus d'un goût prononcé pour la sensible rie que de la finesse psychologique. L'illustration particulièrement soignée, mais à l'aspect "carte postale" d'une gratuité lassante, procède également de la même démarche superficielle. D'une grande simplicité, la mise en scène sait se faire fluide à défaut de posséder le panache nécessaire à la description d'une grande passion. Malgré leur talent, les interprètes ont un peu de mal à entrer dans la peau de leur personnage.

Texte : Christian Depoorter

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