Go to main content
6

Les Somnambules (Sleepwalkers)

É.-U. 1992. Drame d'horreur de Mick Garris avec Brian Krause, Alice Krige, Mädchen Amick. Des créatures maléfiques qui se nourrissent de l'énergie vitale de jeunes vierges jettent leur dévolu sur une étudiante. Variations faussement originales sur le thème du vampirisme. Effets grossiers. Humour noir facile. Mise en scène bourrée de clichés. Interprétation insignifiante.

13 ans + (violence, horreur)
6

Les Somnambules (Sleepwalkers)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 1992. Drame d'horreur de Mick Garris avec Brian Krause, Alice Krige, Mädchen Amick.

Des créatures maléfiques qui se nourrissent de l'énergie vitale de jeunes vierges jettent leur dévolu sur une étudiante. Variations faussement originales sur le thème du vampirisme. Effets grossiers. Humour noir facile. Mise en scène bourrée de clichés. Interprétation insignifiante.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Musique :
Montage :
Mary Brady et son fils Charles sont des créatures appelées Somnambules qui se nourrissent de l'énergie vitale de jeunes femmes vierges et qui, sous leur apparence humaine, dissimulent un corps monstrueux. Seuls les chats peuvent déceler instinctivement leur nature maléfique. Nouvellement installés dans une petite ville de l'Indiana, les deux vampires doivent au plus vite faire une nouvelle victime, car Mary souffre d'inanition. Charles jette son dévolu sur une camarade de classe, Tanya, qu'il assaille lors d'une sortie en tête-à-tête, mais la jeune femme esquive son attaquant et alerte la police qui tente alors de traquer les deux monstres.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Proposant des variations faussement originales sur le thème du vampirisme, Stephen King emploie les ficelles les plus usées pour tenter de créer un semblant de suspense. Son récit est alimenté d'effets grossiers et faciles où ne percent aucune invention ni le moindre raffinement dans l'exercice du fantastique. Certaines scènes horrifiques sont traitées avec un humour noir d'adolescent tout à fait déplacé dans le contexte du film. Cette absence totale d'originalité et d'intelligence n'est en rien compensée par la mise en scène bourrée de clichés, ou par l'interprétation insignifiante.

Texte : Martin Girard

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3