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Les Pilleurs (Trespass)

É.-U. 1992. Drame policier de Walter Hill avec Bill Paxton, Ice-T, William Sadler. Alors qu'ils recherchent un trésor caché dans une usine désaffectée, deux pompiers entrent en lutte contre des loubards du coin. Accent mis exclusivement sur l'action. Personnages simplistes. Climat de tension soutenu malgré quelques longueurs. Interprétation appuyée et sans nuances.

16 ans + (violence, langage vulgaire)
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Les Pilleurs (Trespass)

16 ans + (violence, langage vulgaire) 16 ans + (violence, langage vulgaire)

É.-U. 1992. Drame policier de Walter Hill avec Bill Paxton, Ice-T, William Sadler.

Alors qu'ils recherchent un trésor caché dans une usine désaffectée, deux pompiers entrent en lutte contre des loubards du coin. Accent mis exclusivement sur l'action. Personnages simplistes. Climat de tension soutenu malgré quelques longueurs. Interprétation appuyée et sans nuances.

Genre :
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Montage :
Au cours d'un incendie, deux pompiers recueillent les confidences d'un voleur qui leur révèle l'existence d'un magot caché il y a 50 ans dans une usine de St.-Louis. Arrivés sur les lieux, les deux comparses n'y trouvent que des bâtiments désaffectés habités par un clochard qu'ils mettent hors d'état de nuire. Malheureusement, des loubards du coin se sont donné rendez-vous là pour régler le compte d'un traître. Surpris dans leurs recherches, les pompiers prennent en otage le jeune frère du caïd qui fait aussitôt appel à du renfort. Alors qu'ils tentent par tous les moyens de s'en sortir, les assiégés mettent enfin la main sur le trésor.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'accent étant mis exclusivement sur l'action, la trame narrative de ce thriller pourrait se résumer en peu de mots, tant les personnages et leurs motivations sont réduits à leur plus simple expression. Les données de base ne sont certes pas d'une originalité confondante, mais le suspense y est toutefois maintenu à un haut niveau grâce à un rythme nerveux. Une mise en scène d'une grande mobilité, alliée à un montage serré, contribue à rendre à cette sorte de huis clos un climat de tension constamment soutenu, malgré quelques longueurs. Il est cependant regrettable que la conclusion hâtive rappelle par sa forme raccourcie toutes les limites de la série B. L'interprétation s'avère plutôt appuyée et sans grandes nuances.

Texte : Christian Depoorter

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