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Les Enfants du dimanche (Söndagsbarn)

1992. Drame psychologique de Daniel Bergman avec Thommy Berggren, Henrik Linnros, Lena Endre. Un pasteur se rend dans une petite église de campagne avec son jeune fils qui l'admire et le craint tout à la fois. Récit autobiographique écrit par Ingmar Bergman. Portrait sensible d'un enfant candide. Forme visuelle lumineuse et vivante. Beauté exquise des décors naturels. Interprètes bien dirigés.

Général
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Les Enfants du dimanche (Söndagsbarn)

Général Général

1992. Drame psychologique de Daniel Bergman avec Thommy Berggren, Henrik Linnros, Lena Endre.

Un pasteur se rend dans une petite église de campagne avec son jeune fils qui l'admire et le craint tout à la fois. Récit autobiographique écrit par Ingmar Bergman. Portrait sensible d'un enfant candide. Forme visuelle lumineuse et vivante. Beauté exquise des décors naturels. Interprètes bien dirigés.

Année :
Durée :
Réalisation :
Distributeur :
Malofilm
La famille Bergman passe les vacances d'été dans une grande maison de campagne. Seul le père, Henrik, est demeuré à Stockholm où ses devoirs de pasteur le retiennent. Mais ce jour-là, sa femme et ses enfants viennent l'accueillir à la gare, car il vient séjourner avec eux pour la fin de la semaine. Henrik a été invité à prêcher dans une paroisse voisine où il compte se rendre en compagnie de son plus jeune fils, Pu. Ce dernier ne manifeste pourtant guère d'enthousiasme à l'idée de passer une journée seul avec son père. Durant leur sortie, Pu apprend à connaître un peu mieux son papa qu'il admire et craint tout à la fois.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'inspirant d'un passage de son autobiographie, Ingmar Bergman s'est remis à la plume pour écrire ce scénario dont il a confié la mise en scène à son fils. On y retrouve la plupart des thèmes chers au grand cinéaste suédois, tels la famille, les rapports du couple, la foi en Dieu, la mort, etc. Tous ces sujets prennent corps à travers le portrait sensible d'un enfant qui observe le monde des adultes avec une candeur impressionnable. Le film parvient habilement à conjuguer un sujet souvent sombre et grave avec une forme visuelle lumineuse et vivante. Le rythme est un peu lent, mais la beauté exquise des décors naturels procure au regard une joie constante. Les interprètes sont bien dirigés.

Texte : Martin Girard

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