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Les Blancs ne savent pas sauter (White Men Can't Jump)

É.-U. 1992. Comédie de Ron Shelton avec Wesley Snipes, Woody Harrelson, Rosie Perez. Un Noir et un Blanc, particulièrement doués pour le basket-ball et pour l'escroquerie, s'associent afin de participer à un tournoi très lucratif. Situations répétitives et lassantes. Caractérisation des personnages assez drôle. Réalisation et interprétation plus énergiques qu'originales.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Les Blancs ne savent pas sauter (White Men Can't Jump)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1992. Comédie de Ron Shelton avec Wesley Snipes, Woody Harrelson, Rosie Perez.

Un Noir et un Blanc, particulièrement doués pour le basket-ball et pour l'escroquerie, s'associent afin de participer à un tournoi très lucratif. Situations répétitives et lassantes. Caractérisation des personnages assez drôle. Réalisation et interprétation plus énergiques qu'originales.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
20th Century Fox
Sur une plage de Californie, un jeune Noir doué pour le basket-ball, Sidney Deane, relève le défi d'un inconnu, Billy Hoyle, qui prétend pouvoir le battre facilement à ce sport. Billy remporte le match et accepte ensuite de faire équipe avec Sidney dans une série d'arnaques où ils mettent à profit leurs talents de joueurs pour s'enrichir. Il appert que Billy doit une forte somme à des gangsters qui le talonnent, lui et sa copine Gloria, tandis que Sidney a promis à sa femme de s'acheter une nouvelle maison. Leur association connaît quelques revers mais ils gagnent un tournoi très lucratif. Billy n'est pourtant pas au bout de ses peines, car il a la mauvaise habitude de miser son argent dès qu'il l'empoche.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette histoire qui décrit l'amitié parfois orageuse entre un Noir et un Blanc, tous deux orgueilleux et impulsifs, s'avère arbitraire et les situations en deviennent répétitives. Il y a de l'humour dans la caractérisation des personnages et dans certaines répliques, mais les nombreuses engueulades auxquelles se livrent les protagonistes finissent par lasser. La réalisation et l'interprétation reposent plus sur la dépense d'énergie que sur la finesse ou l'originalité.

Texte : Martin Girard

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