Le Pianiste (The Pianist)

Name: Pianiste, Le
Director: Claude Gagnon
Genre: Drame psychologique
Duration: 112 min.

Can. 1992. Drame psychologique de Claude Gagnon avec Gail Travers, Macha Grenon, Eiji Okuda. Deux soeurs adolescentes ont le béguin pour leur voisin, un pianiste japonais de renommée mondiale. Romantisme de feuilleton. Récit éparpillé. Quelques passages charmants. Interprétation nuancée des deux vedettes féminines.

Le Pianiste (The Pianist)

13 ans +

Can. 1992. Drame psychologique de Claude Gagnon avec Gail Travers, Macha Grenon, Eiji Okuda.

Deux soeurs adolescentes ont le béguin pour leur voisin, un pianiste japonais de renommée mondiale. Romantisme de feuilleton. Récit éparpillé. Quelques passages charmants. Interprétation nuancée des deux vedettes féminines.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1992

Durée :

112 min.

Réalisation :

Claude Gagnon

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

Aska

Producteurs :

Interprètes :

Gail Travers
Macha Grenon
Eiji Okuda

À Toronto, deux soeurs adolescentes, Jean et Colette, ont toutes deux le béguin pour Yoshi Takahashi, un pianiste de renommée mondiale devenu leur voisin. Elles l'espionnent, lui jouent des tours et vont même jusqu'à adopter certaines coutumes japonaises. Mais un jour, Yoshi doit quitter Toronto. En guise d'adieu, il leur offre un voyage à Montréal. Quelques années plus tard, Jean surprend Colette en compagnie de Yoshi. Elle profitera d'une réunion de famille pour s'expliquer avec sa soeur au sujet de cette troublante découverte.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Délaissant le milieu ouvrier de ses films précédents, Claude Gagnon change radicalement de registre avec cette étude de moeurs d'une famille bourgeoise qui baigne dans un romantisme de feuilleton. Le récit s'éparpille inutilement à travers des scènes de valeur dramatique inégale se déroulant dans plusieurs villes sur une période de dix ans. L'emploi d'un commentaire en voix-off ne contribue qu'à une redite agaçante qui atrophie le pouvoir des images et court-circuite l'émotion sous-jacente. Malgré tout, la partie torontoise possède un charme appréciable et les deux vedettes féminines offrent une interprétation fort nuancée.

Texte : André Caron

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