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Le Grand Pardon II

Fr. 1992. Drame de moeurs de Alexandre Arcady avec Roger Hanin, Richard Berry, Gérard Darmon. Un ancien racketteur parisien parti vivre à Miami chez son fils découvre que celui-ci s'est enrichi en blanchissant l'argent de la drogue. Imitation du "Scarface" de De Palma et des "Godfather" de Coppola. Intrigue pleine de lieux communs. Rythme pesant. Mise en scène luxueuse. Interprètes convaincus.

13 ans + (violence)
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Le Grand Pardon II (Le Grand Pardon II)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

Fr. 1992. Drame de moeurs de Alexandre Arcady avec Roger Hanin, Richard Berry, Gérard Darmon.

Un ancien racketteur parisien parti vivre à Miami chez son fils découvre que celui-ci s'est enrichi en blanchissant l'argent de la drogue. Imitation du "Scarface" de De Palma et des "Godfather" de Coppola. Intrigue pleine de lieux communs. Rythme pesant. Mise en scène luxueuse. Interprètes convaincus.

Après dix ans d'emprisonnement, l'ancien racketteur Raymond Bettoun est parti vivre à Miami chez son fils Maurice qui a fait fortune dans l'immobilier. D'abord très fier du succès de son rejeton, le père déchante rapidement lorsqu'il découvre que celui-ci s'est enrichi en blanchissant l'argent de la drogue. Maurice espère d'ailleurs financer son prochain projet de construction d'un casino en introduisant une tonne de cocaïne en Floride. Pour ce faire, il s'associe à un impitoyable mafioso local, Meisner, et fait appel à l'expertise d'un trafiquant mystérieux surnommé l'Indien. Maurice ignore que ce dernier n'est nul autre que Roland, son frère que tout le monde croyait mort et qui manigance une terrible vengeance.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Si LE GRAND PARDON s'inspirait beaucoup de la saga des GODFATHER de Francis Ford Coppola, cette suite marche sur les brisées du SCARFACE de Brian De Palma, sans complètement oublier toutefois son premier modèle. La transposition de cette saga familiale dans un contexte américain n'est pas vraiment convaincante, surtout que le milieu est évoqué parfois de façon presque caricaturale. En plus, l'intrigue multiplie les lieux communs sans aucun souci de crédibilité, tout en progressant à un rythme pesant. On suit donc cette histoire avec un intérêt moyen et cela, malgré le luxe dont jouit la mise en scène par ailleurs peu inventive. Les interprètes s'avèrent néanmoins convaincus.

Texte : Martin Girard

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