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Le Grand Jeu (The Swordsman)

Can. 1992. Drame policier de Michael Kennedy avec Lorenzo Lamas, Claire Stansfield, Michael Champion. Enquêtant sur le vol d'une épée de grande valeur, un policier découvre l'existence d'une étrange société secrète. Assortiment exhaustif des recettes du cinéma de série B. Récit dépourvu d'imagination. Scènes de dialogues interminables. Mise en scène lourde. Interprétation quelconque.

13 ans + (violence)
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Le Grand Jeu (The Swordsman)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

Can. 1992. Drame policier de Michael Kennedy avec Lorenzo Lamas, Claire Stansfield, Michael Champion.

Enquêtant sur le vol d'une épée de grande valeur, un policier découvre l'existence d'une étrange société secrète. Assortiment exhaustif des recettes du cinéma de série B. Récit dépourvu d'imagination. Scènes de dialogues interminables. Mise en scène lourde. Interprétation quelconque.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
C/FP
La jeune archéologue Julie Wilkins est placée sous protection policière après avoir été témoin d'un crime au cours duquel des voleurs se sont emparés d'une épée de grande valeur. Andrew, le jeune policier chargé de sa garde, est un médium obsédé par d'étranges cauchemars où il se bat à l'épée contre un mystérieux adversaire. En menant sa propre enquête sur le vol, Andrew découvre l'existence d'une société secrète où des escrimeurs s'affrontent dans des combats mortels. Il soupçonne l'organisateur de ces duels, un dénommé Stratos, d'être en possession de l'épée volée. Afin de pouvoir le démasquer, le flic se fait admettre comme duelliste dans ce club particulier.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec son enquête policière, ses scènes d'action, ses éléments fantastiques et ses combats à l'épée, le scénario propose un assortiment exhaustif de toutes les recettes à succès du cinéma de série B. Mais curieusement, l'auteur ne fait aucun effort pour tirer profit de tous ces éléments, qu'il délaisse plus souvent qu'autrement au profit de dialogues interminables. Le récit ne possède aucun rythme et pas la moindre étincelle d'imagination, si bien que l'ennui s'empare du spectateur dès le début et ne le lâche plus jusqu'à l'épilogue. La réalisation empire les choses avec sa lourdeur insigne et la laideur des images. L'interprétation s'avère quelconque.

Texte : Martin Girard

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