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La Main qui berce l'enfant (The Hand That Rocks the Cradle)

É.-U. 1992. Thriller de Curtis Hanson avec Annabella Sciorra, Rebecca De Mornay, Matt McCoy. Après la naissance de leur second enfant, des jeunes mariés engagent une gardienne qui se révèle animée d'intentions malveillantes. Suspense s'appuyant sur des effets faciles et prévisibles. Climat de tension parfois valable mais dans l'ensemble assez artificiel. Mise en scène de métier. Interprétation honnête.

13 ans +
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La Main qui berce l'enfant (The Hand That Rocks the Cradle)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 1992. Thriller de Curtis Hanson avec Annabella Sciorra, Rebecca De Mornay, Matt McCoy.

Après la naissance de leur second enfant, des jeunes mariés engagent une gardienne qui se révèle animée d'intentions malveillantes. Suspense s'appuyant sur des effets faciles et prévisibles. Climat de tension parfois valable mais dans l'ensemble assez artificiel. Mise en scène de métier. Interprétation honnête.

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Une jeune femme, Peyton, fait une fausse-couche à la suite du suicide de son mari, un médecin accusé d'avoir harcelé sexuellement une patiente. Cette dernière, Claire Bartel, donne naissance à son deuxième enfant et se cherche une gardienne. Peyton obtient le poste en utilisant une fausse identité. Elle gagne rapidement la confiance des Bartel et agit comme une vraie mère envers les enfants, allant même jusqu'à allaiter le bébé en secret. De fait, elle projette d'éliminer Claire au moment opportun et de prendre sa place au sein de la famille. Mais Solomon, un journalier à l'emploi des Bartel, découvre son manège.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Curtis Hanson (THE BEDROOM WINDOW, BAD INFLUENCE) n'a pas ménagé les grosses ficelles pour "tricoter" ce suspense qui s'appuie sur des effets faciles et prévisibles. L'intrigue suscite cependant par moments un climat de tension valable, bien qu'assez artificiel, et une mise en scène de métier assure à l'ensemble une certaine efficacité. Rebecca De Mornay (DEALERS) charge beaucoup trop son jeu, mais ses partenaires livrent des performances plus qu'honnêtes.

Texte : Martin Girard

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