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Jack l'ours (Jack the Bear)

É.-U. 1992. Drame psychologique de Marshall Herskovitz avec Danny DeVito, Robert J. Steinmiller Jr., Miko Hughes. Les problèmes rencontrés par un veuf qui doit élever seul ses deux fils de 3 et 12 ans. Scénario naviguant avec souplesse du comique au dramatique. Une certaine tendance mélo. Souci d'authenticité dans la mise en scène. Jeu sensible de D. DeVito.

Général
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Jack l'ours (Jack the Bear)

Général Général

É.-U. 1992. Drame psychologique de Marshall Herskovitz avec Danny DeVito, Robert J. Steinmiller Jr., Miko Hughes.

Les problèmes rencontrés par un veuf qui doit élever seul ses deux fils de 3 et 12 ans. Scénario naviguant avec souplesse du comique au dramatique. Une certaine tendance mélo. Souci d'authenticité dans la mise en scène. Jeu sensible de D. DeVito.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
20th Century Fox
En 1972, après la mort de sa femme, John Leary s'installe en Californie avec ses deux fils, Jack, 12 ans, et Dylan, 3 ans. Dans ce nouveau milieu, Jack fait le dur apprentissage de la vie. Préoccupé par les problèmes d'alcool de son père et les sombres agissements du voisin Nonnan Strick, Jack éprouve de plus les joies et les peines d'un premier amour. Le vide laissé par la mort de sa mère se fait vivement ressentir dans les rapports qu'entretient le garçon avec son paternel, surtout lorsque Dylan sort traumatisé d'un kidnapping. Suite à cet événement, les enfants sont pris en charge par les beaux-parents de John. Mais Jack s'enfuit pour rejoindre son père, alors que le ravisseur rôde de nouveau.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Basé sur le délicat apprentissage d'un enfant au monde adulte, le scénario s'avère fertile en situations qui permettent de passer du comique au dramatique et du personnel au général avec une grande souplesse. Cependant, le problème majeur du film réside dans le peu de crédibilité de diverses péripéties qui relèvent souvent de coïncidences plutôt controuvées. Malgré le grand souci d'authenticité qui imprègne chaque situation et une bonne maîtrise technique, la mise en scène a trop tendance à insister sur les connotations "mélo" du récit, un petit défaut qui s'explique sans doute par le passé de réalisateur de téléfilms d'Herskovitz. Le jeu aisé des jeunes protagonistes et celui sensible de DeVito sont accompagnés par une musique discrète tout à fait adéquate.

Texte : Yves Rivard

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