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In the Soup

É.-U. 1992. Comédie dramatique de Alexander Rockwell avec Steve Buscemi, Seymour Cassel, Jennifer Beals. Un vieil homme excentrique s'immisce dans la vie d'un jeune scénariste impécunieux à qui il a proposé de financer son film. Portrait sympathique de personnages paumés. Ensemble tendre et chaleureux d'un intérêt mitigé. Réalisation assez ordinaire. Interprétation colorée de S. Cassel.

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In the Soup (In the Soup)

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É.-U. 1992. Comédie dramatique de Alexander Rockwell avec Steve Buscemi, Seymour Cassel, Jennifer Beals.

Un vieil homme excentrique s'immisce dans la vie d'un jeune scénariste impécunieux à qui il a proposé de financer son film. Portrait sympathique de personnages paumés. Ensemble tendre et chaleureux d'un intérêt mitigé. Réalisation assez ordinaire. Interprétation colorée de S. Cassel.

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n/d
Aldolpho, un jeune scénariste impécunieux, doit au plus vite trouver l'argent nécessaire pour payer son loyer. Il décide donc de placer une annonce dans un journal dans l'espoir de vendre un scénario sur lequel il travaille depuis des années. Il reçoit un appel de Joe, un vieil homme excentrique qui lui propose de financer le film. Dans les jours qui suivent, Joe s'immisce dans la vie d'Aldolpho et le mêle à son corps défendant à divers trafics. Par ailleurs, il aide le jeune homme à conquérir le coeur d'une jolie voisine. Mais le temps passe et malgré ses promesses, Joe ne fait rien pour produire le film. Aldolpho en vient donc à se demander si son copain ne s'est simplement pas servi de lui pour accomplir ses larcins.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le jeune cinéaste Alexandre Rockwell s'est inspiré de ses propres expériences pour décrire les petites misères d'un scénariste débutant qui rêve de percer. Jonglant avec le drame et l'humour, il trace le portrait de ses personnages paumés en leur manifestant une évidente sympathie. Il en résulte un film souvent tendre et chaleureux qui ne soulève cependant pas un intérêt remarquable. Les efforts de l'auteur sont par trop transparents, si bien qu'on sent presque toujours l'écriture derrière les dialogues et les situations. La réalisation est assez ordinaire, mais l'interprétation colorée de Seymour Cassel injecte de la vie à l'ensemble.

Texte : Martin Girard

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