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Il était un crime (Once Upon a Crime)

É.-U. 1992. Comédie policière de Eugene Levy avec Sean Young, Richard Lewis, John Candy. En voyage en Europe, un couple d'Américains est mêlé à une affaire de meurtre à la suite de la découverte du cadavre d'une femme riche. Remake d'un film italien des années 1960. Intrigue caricaturale aux personnages américanisés. Gags prévisibles étirés inutilement. Réalisation honnête. Interprétation décevante.

Général
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Il était un crime (Once Upon a Crime)

Général Général

É.-U. 1992. Comédie policière de Eugene Levy avec Sean Young, Richard Lewis, John Candy.

En voyage en Europe, un couple d'Américains est mêlé à une affaire de meurtre à la suite de la découverte du cadavre d'une femme riche. Remake d'un film italien des années 1960. Intrigue caricaturale aux personnages américanisés. Gags prévisibles étirés inutilement. Réalisation honnête. Interprétation décevante.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
MGM
En voyage à Rome, un acteur américain sans emploi et une jeune compatriote impécunieuse trouvent un chien perdu qui s'avère appartenir à une femme très riche. Espérant toucher une récompense, ils décident de retourner l'animal à sa propriétaire qui habite Monte Carlo. Arrivés sur place, ils découvrent qu'elle vient d'être assassinée. Fuyant le lieu du crime, ils oublient une valise qui se retrouve ensuite entre les mains d'un autre touriste américain qui croit qu'elle contient de l'argent. Mais lui et sa femme y découvrent plutôt le cadavre de la victime avant d'être ensuite arrêtés par la police en même temps que l'acteur et sa compagne.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le producteur Dino De Laurentiis doit sans doute être à court d'idées nouvelles car ce film est le remake d'une de ses propres productions italiennes des années soixante. Les personnages ont été américanisés mais l'intrigue demeure à peu près la même. Il s'agit d'une comédie où l'agitation constante tient lieu de rythme et où la caricature l'emporte volontiers sur la subtilité. La majorité des gags s'annoncent longtemps d'avance et sont étirés inutilement. Quelques passages plus inspirés relèvent un peu la sauce et la réalisation est honnête. Parmi les interprètes, seul Giannini montre un peu de finesse.

Texte : Martin Girard

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