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Guerrier du temps (Time Runner)

Can. 1992. Science-fiction de Michael Mazo avec Mark Hamill, Rae Dawn Chong, Brion James. En 2022, à la suite d'une explosion, un capitaine est projeté en l'an 1992 où les sbires d'un extraterrestre cherchent à l'éliminer. Intrigue spatio-temporelle aussi confuse qu'invraisemblable. Caractérisation typée à outrance. Mise en scène primaire. Comédiens sans charisme laissés à eux-mêmes.

16 ans + (violence)
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Guerrier du temps (Time Runner)

16 ans + (violence) 16 ans + (violence)

Can. 1992. Science-fiction de Michael Mazo avec Mark Hamill, Rae Dawn Chong, Brion James.

En 2022, à la suite d'une explosion, un capitaine est projeté en l'an 1992 où les sbires d'un extraterrestre cherchent à l'éliminer. Intrigue spatio-temporelle aussi confuse qu'invraisemblable. Caractérisation typée à outrance. Mise en scène primaire. Comédiens sans charisme laissés à eux-mêmes.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Cineplex-Odeon
En 2022, la Terre unifiée est attaquée par des êtres belliqueux venus de l'espace. Fuyant les armées ennemies, le capitaine Raynor est projeté dans le passé à la suite d'une explosion. Il se retrouve ainsi dans l'état de Washington en 1992, l'année de sa naissance. Aidé par une scientifique, Raynor découvre que le sénateur Neila, futur président de la Terre, n'est en fait qu'un extraterrestre infiltré. Les sbires de Neila se lancent aussitôt à la poursuite de l'homme du futur et tentent de tuer la mère de ce dernier afin d'empêcher que sa naissance ait lieu.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Déroulant des péripéties qui semblent empruntées sans vergogne à TERMINATOR ou à FREEJACK, le film se situe à un très bas niveau d'invention. Faisant fi de la logique la plus élémentaire, le récit se perd dans les méandres simplistes d'une intrigue spatio-temporelle aussi confuse qu'invraisemblable. Une mise en scène primaire, pour ne pas dire quasi inexistante, abuse de ralentis interminables et hors propos et se complaît dans des effets spéciaux d'une pauvreté navrante. La caractérisation des personnages ne dépasse jamais le stéréotype puéril. Les méchants sont atrocement caricaturés, alors que les bons ressemblent à des marionnettes sans âme. La direction d'acteurs se signalant par son absence, des comédiens sans charisme sont laissés à eux-mêmes.

Texte : Christian Depoorter

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