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Contre-attaque (Rapid Fire)

É.-U. 1992. Drame policier de Dwight H. Little avec Brandon Lee, Powers Boothe, Nick Mancuso. À Chicago, un jeune Chinois expert en arts martiaux prête main-forte à un policier intègre, qui tente de coffrer l'assassin d'un important trafiquant de drogue. Scénario prétexte à une enfilade de combats. Action rondement menée. Ensemble conventionnel et invraisemblable. Interprétation valable.

13 ans + (violence)
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Contre-attaque (Rapid Fire)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1992. Drame policier de Dwight H. Little avec Brandon Lee, Powers Boothe, Nick Mancuso.

À Chicago, un jeune Chinois expert en arts martiaux prête main-forte à un policier intègre, qui tente de coffrer l'assassin d'un important trafiquant de drogue. Scénario prétexte à une enfilade de combats. Action rondement menée. Ensemble conventionnel et invraisemblable. Interprétation valable.

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Jake Lo est amer et désillusionné depuis qu'il a perdu son père dans le massacre de la place Tiananmen. C'est pourquoi il accepte mal d'être impliqué dans une affaire judiciaire lorsque le destin fait de lui le seul témoin du meurtre d'un trafiquant de drogue notoire. On l'envoie alors à Chicago pour qu'il témoigne contre le tueur, un dénommé Antonio Serrano, mais Jake tombe dans une embuscade impliquant des agents du FBI. Sa connaissance des arts martiaux lui sauve la vie, mais il est maintenant un homme traqué. Jake est alors recueilli par un policier honnête, Mace Ryan, qui mène sa propre lutte contre Serrano. D'abord réticent, Jake finit par prêter main-forte à cet homme qui lui rappelle son père.

L’AVIS DE MEDIAFILM

RAPID FIRE n'est ni meilleur ni pire que les autres productions américaines du même genre. Le scénario manque d'envergure et accumule les invraisemblances, mais l'intrigue ne traîne pas et les personnages s'avèrent attachants. Bien sûr, l'ensemble n'en demeure pas moins qu'un prétexte à une enfilade de combats d'arts martiaux. Les scènes d'action sont bien réalisées, mais devant leur conventionnalisme, on se prend à regretter la flamboyance et la fantaisie des films de kung fu de Hong-Kong. Brandon Lee ne surpasse pas les prouesses de son père Bruce, mais il possède un plus grand charisme cinématographique. Powers Boothe rehausse le film de sa présence.

Texte : Johanne Larue

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