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Confessions perverses (Whispers in the Dark)

É.-U. 1992. Drame policier de Christopher Crowe avec Annabella Sciorra, Jamey Sheridan, Anthony LaPaglia. Une psychiatre tombe amoureuse de l'amant d'une de ses clientes qui est retrouvée assassinée peu après. Histoire artificielle et peu crédible. Aucune logique psychologique. Mise en scène experte mais impersonnelle. Interprétation convaincue d'A. Sciorra.

16 ans + (violence, érotisme)
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Confessions perverses (Whispers in the Dark)

16 ans + (violence, érotisme) 16 ans + (violence, érotisme)

É.-U. 1992. Drame policier de Christopher Crowe avec Annabella Sciorra, Jamey Sheridan, Anthony LaPaglia.

Une psychiatre tombe amoureuse de l'amant d'une de ses clientes qui est retrouvée assassinée peu après. Histoire artificielle et peu crédible. Aucune logique psychologique. Mise en scène experte mais impersonnelle. Interprétation convaincue d'A. Sciorra.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Paramount
Une jeune psychiatre de New York, Ann Hecker, écoute chaque semaine une de ses patientes, Eve Aubergray, lui décrire en détail les jeux de domination sexuelle auxquels son amant la soumet. Peu de temps après avoir fait connaissance avec Doug, un pilote dont elle est tombée amoureuse, Ann apprend par hasard qu'il s'agit du partenaire d'Eve. Ayant découvert la relation naissante entre Doug et Ann, cette dernière menace de se venger. Mais voilà qu'on la retrouve assassinée. Sous prétexte de confidentialité, Ann se montre peu encline à collaborer à l'enquête menée par le détective Morgenstern. De ce fait, une vive hostilité se développe entre la jeune femme et le policier qui soupçonne Doug d'être le coupable.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette histoire artificielle au possible manque totalement de crédibilité. L'auteur s'efforce par tous les moyens de surprendre le spectateur, mais en vain, car l'intrigue s'avère truffée de rebondissements à la limite du ridicule et le suspense n'a pas de consistance. De plus, les personnages ne sont que des pantins qui agissent sans aucune logique sur le plan psychologique. La mise en scène compense difficilement les ratés du scénario car elle se révèle impersonnelle et parfois lourde malgré une évidente expertise technique. L'interprétation convaincue d'Annabella Sciorra constitue ce que ce film offre de meilleur.

Texte : Martin Girard

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