Go to main content
5

Chérie, j'ai gonflé le bébé (Honey, I Blew Up the Kid)

É.-U. 1992. Comédie fantaisiste de Randal Kleiser avec Rick Moranis, Marcia Strassman, Lloyd Bridges. Accidentellement atteint par un rayon qui grossit les objets, un bébé se met à décupler chaque fois qu'il est soumis à une concentration d'électricité. Sujet amusant. Scénario puéril. Trucages abondants et réussis. Séquences finales divertissantes. Interprétation dans le ton voulu.

Général
5

Chérie, j'ai gonflé le bébé (Honey, I Blew Up the Kid)

Général Général

É.-U. 1992. Comédie fantaisiste de Randal Kleiser avec Rick Moranis, Marcia Strassman, Lloyd Bridges.

Accidentellement atteint par un rayon qui grossit les objets, un bébé se met à décupler chaque fois qu'il est soumis à une concentration d'électricité. Sujet amusant. Scénario puéril. Trucages abondants et réussis. Séquences finales divertissantes. Interprétation dans le ton voulu.

Le chercheur Wayne Szalinski a mis au point un rayon qui permet de rétrécir les objets. Il en a cédé les droits à un laboratoire du Nevada où des scientifiques s'efforcent d'inverser l'effet du rayon dans l'espoir de grossir les molécules. De son propre chef, Wayne tente une nouvelle expérience avec son invention; malheureusement son bébé Adam est accidentellement atteint par le rayon. L'enfant se met alors à décupler à chaque fois qu'il est soumis à une concentration élevée d'électricité. Il atteint bientôt une hauteur de 50 mètres et menace de ravager Las Vegas en toute innocence. Les autorités sont en alerte, tandis que les Szalinski tentent de renverser le processus de croissance en utilisant l'invention originale de Wayne.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les possibilités comiques du sujet apparaissent à l'évidence dans certains passages, mais le scénario dans son ensemble s'avère trop laborieux et puéril pour tirer profit au maximum du potentiel des situations. Le comique repose parfois sur une caricature des relations entre les parents et les enfants, mais tout cela reste trop souvent au niveau des bonnes intentions. Les trucages sont par contre abondants et généralement assez réussis. Sur ce plan, les séquences finales à Las Vegas se révèlent divertissantes. Cela dit, la réalisation aurait pu être plus imaginative dans la façon d'utiliser et de présenter cette débauche d'effets spéciaux. Tel quel, le travail du réalisateur est purement fonctionnel. Les comédiens jouent dans le ton voulu.

Texte : Martin Girard

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3