Boxing Helena

Name: Boxing Helena
Director: Jennifer Chambers Lynch
Genre: Drame psychologique
Duration: 107 min.

É.-U. 1992. Drame psychologique de Jennifer Chambers Lynch avec Julian Sands, Sherilyn Fenn, Bill Paxton. Obsédé par la jolie voisine avec qui il a déjà eu une aventure, un médecin enlève et séquestre la jeune femme après l'avoir amputé de ses jambes. Intrigue sans grande surprise. Approche naïve. Mise en scène plus appliquée qu'imaginative. Interprétation sans âme de personnages artificiels.

Boxing Helena (Boxing Helena)

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É.-U. 1992. Drame psychologique de Jennifer Chambers Lynch avec Julian Sands, Sherilyn Fenn, Bill Paxton.

Obsédé par la jolie voisine avec qui il a déjà eu une aventure, un médecin enlève et séquestre la jeune femme après l'avoir amputé de ses jambes. Intrigue sans grande surprise. Approche naïve. Mise en scène plus appliquée qu'imaginative. Interprétation sans âme de personnages artificiels.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1992

Durée :

107 min.

Réalisation :

Jennifer Chambers Lynch

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Julian Sands
Sherilyn Fenn
Bill Paxton

Bien qu'il soit fiancé à Anne, le docteur Nlck Cavanaugh demeure obsédé par sa jeune et jolie voisine, Helena, avec qui il a déjà eu une brève aventure. Mais depuis lors, la très indépendante Helena repousse ses avances avec mépris. Profitant du fait qu'elle a oublié son sac à main lors d'une réception donnée chez lui, Nick attire la jeune femme dans sa demeure pour tenter ànouveau de la séduire. Outrée par le comportement du médecin, Helena s'enfuit de la maison en courant et se fait renverser par une voiture. Nick saute sur l'occasion pour la ramener chez lui où il en fait sa prisonnière après l'avoir amputé de ses jambes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

A partir d'un thème familier, celui de l'amoureux obsédé qui enlève et séquestre la femme de ses désirs, Jennifer C. Lynch développe une intrigue sans grande surprise fondée sur la description de comportements humains aberrants. Son approche est cependant trop naïve pour rendre crédible le contenu psychologique du scénario. Malgré tous ses efforts pour créer des situations et des effets insolites ou provocants, la réalisatrice évite rarement les clichés les plus éculés. L'élégance glacée de sa mise en scène fait montre de plus d'application que d'imagination et les interprètes ne parviennent pas à donner un semblant d'âme à leurs personnages stéréotypés et artificiels.

Texte : Martin Girard

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