Boomerang

Name: Boomerang
Director: Reginald Hudlin
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 118 min.

É.-U. 1992. Comédie de moeurs de Reginald Hudlin avec Eddie Murphy, Robin Givens, Halle Berry. Un publicitaire tente de séduire une nouvelle collègue qui a obtenu le poste de direction qu'il convoitait. Projet conçu pour mettre en valeur la vedette. Récit artificiel et controuvé. Quelques touches d'ironie valables. Réalisation clinquante mais parfois inventive. Interprétation assurée.

Boomerang (Boomerang)

13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 1992. Comédie de moeurs de Reginald Hudlin avec Eddie Murphy, Robin Givens, Halle Berry.

Un publicitaire tente de séduire une nouvelle collègue qui a obtenu le poste de direction qu'il convoitait. Projet conçu pour mettre en valeur la vedette. Récit artificiel et controuvé. Quelques touches d'ironie valables. Réalisation clinquante mais parfois inventive. Interprétation assurée.

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Genre :

Comédie de moeurs

Année :

1992

Durée :

118 min.

Réalisation :

Reginald Hudlin

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Eddie Murphy
Robin Givens
Halle Berry

Marcus Graham travaille dans le secteur publicitaire d'une prestigieuse firme de cosmétiques à New York. Sa carrière professionnelle est une longue série de succès qui n'a d'égal que ses nombreuses conquêtes féminines. Dans l'espoir d'obtenir la direction générale de son département, Marcus va même jusqu'à partager le lit de la vieille Lady Eloïse, la fondatrice de la compagnie. Mais le poste convoité par Marcus est finalement confié à une nouvelle recrue, Jacqueline. Pour ajouter l'insulte à l'outrage, cette femme raffinée et sensuelle repousse les avances de Marcus qui a pourtant décidé de la conquérir par tous les moyens.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce projet narcissique semble avoir été entièrement conçu pour mettre en valeur les charmes de la vedette qui s'en donne à coeur joie dans l'autosatisfaction. Il n'y a pourtant pas de quoi pavoiser car BOOMERANG déroule des péripéties convenues et controuvées où l'artifice et le superficiel règnent en maîtres. Malgré des prétentions vaguement féministes, le film s'avère bourré de clichés sexistes, alors que l'humour tombe souvent dans le mauvais goût le plus racoleur. Seuls quelques passages exploitent avec succès le comique ironique recherché par les auteurs. La réalisation est parfois inventive, mais se contente le plus souvent de mettre en valeur des décors d'un chic clinquant. L'interprétation ne manque pas d'assurance.

Texte : Martin Girard

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