Agent double (Deep Cover)

Name: Agent double
Director: Bill Duke
Genre: Drame policier
Duration: 112 min.

É.-U. 1992. Drame policier de Bill Duke avec Laurence Fishburne, Jeff Goldblum, Victoria Dillard. Un policier devient vendeur de stupéfiants afin de mieux infiltrer l'organisation criminelle qu'il doit démanteler. Intrigue policière mâtinée de critique sociale. Approche stylistique flamboyante. Utilisation intelligente des codes du film noir. Atmosphère de grande violence. Interprétation intense.

Agent double (Deep Cover)

13 ans +

É.-U. 1992. Drame policier de Bill Duke avec Laurence Fishburne, Jeff Goldblum, Victoria Dillard.

Un policier devient vendeur de stupéfiants afin de mieux infiltrer l'organisation criminelle qu'il doit démanteler. Intrigue policière mâtinée de critique sociale. Approche stylistique flamboyante. Utilisation intelligente des codes du film noir. Atmosphère de grande violence. Interprétation intense.

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Genre :

Drame policier

Année :

1992

Durée :

112 min.

Réalisation :

Bill Duke

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Laurence Fishburne
Jeff Goldblum
Victoria Dillard

Recruté par un agent du gouvernement pour effectuer une mission secrète, le policier Russell Stevens Jr devient vendeur de stupéfiants en vue de mieux infiltrer l'organisation qu'il doit démanteler. Son enquête, qui ne lui plaît guère, le force à se lier avec un avocat excentrique et corrompu qui finit par avoir une influence pernicieuse sur son comportement éthique. Dégoûté par l'attitude du gouvernement, qu'il sait de mèche avec les trafiquants, Stevens opère bientôt hors des sentiers prescrits parla loi et finit par tomber amoureux d'une criminelle.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bien que le scénario ne soit pas des mieux construits ni le récit parfaitement convaincant, DEEP COVER séduit par l'audace de sa critique sociale et la flamboyance de son approche stylistique. La réalisation, qui rappelle par moments celle de Rainer Werner Fassbinder, utilise à bon escient certains codes du film noir sans jamais tomber dans le pastiche. Les éclairages baroques, ainsi que le jazz avant-gardiste de la trame sonore, confèrent à l'ensemble une atmosphère parfois onirique. L'interprétation est intense et précise.

Texte : Johanne Larue

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