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Zebrahead

É.-U. 1991. Drame social de Anthony Drazan avec Michael Rapaport, N'bushe Wright, Paul Butler. Un jeune étudiant afro-américain est jaloux de l'idylle entre un Blanc et une consoeur noire. Variations sur le thème du racisme. Multiplication des personnages secondaires. Ton vivant et varié bien qu'un peu superficiel. Interprétation sincère.

13 ans + (langage vulgaire)
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Zebrahead (Zebrahead)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 1991. Drame social de Anthony Drazan avec Michael Rapaport, N'bushe Wright, Paul Butler.

Un jeune étudiant afro-américain est jaloux de l'idylle entre un Blanc et une consoeur noire. Variations sur le thème du racisme. Multiplication des personnages secondaires. Ton vivant et varié bien qu'un peu superficiel. Interprétation sincère.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Columbia
Nouvellement installée dans un quartier multi-ethnique du centre de Détroit, Nikki s'inscrit à la même école que son cousin Dee. Bien que celui-ci soit de race noire, il a pour meilleur ami un jeune Blanc prénommé Zack, qui vit seul avec son père, un marchand obsédé par les femmes. Une idylle entre Nikki et Zack provoque la colère de Nut, un camarade de classe au tempérament agressif, qui courtisait la jeune femme. Une dispute entre les deux amoureux lui redonne espoir, mais Nikki repousse ses avances. Un soir, alors qu'il s'interpose entre Zack et Nut durant une altercation, Dee est abattu par Nut.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le thème des relations amoureuses inter-raciales a été mis au goût du jour par des films récents comme JUNGLE FEVER et MISSISSIPPI MASSALA. Ce nouveau film d'un jeune cinéaste ne contient pas vraiment d'éléments nouveaux. Mais l'auteur a eu la bonne idée de situer l'action dans un quartier anciennement habité par des Blancs aisés qui l'ont délaissé au profit de la banlieue. Les nombreuses maisons bourgeoises abandonnées servent de toile de fond à l'action et symbolisent à merveille une certaine faillite de la société américaine. L'intrigue multiplie les personnages secondaires, ce qui confère à l'ensemble un ton vivant et varié, bien que quelque peu superficiel. Le tout demeure cependant très crédible et les interprètes ne manquent pas de sincérité.

Texte : Martin Girard

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