Where Angels Fear to Tread

Name: Where Angels Fear to Tread
Director: Charles Sturridge
Genre: Comédie dramatique
Duration: 113 min.

G.-B. 1991. Comédie dramatique de Charles Sturridge avec Helen Mirren, Rupert Graves, Helena Bonham Carter. Lorsque sa femme meurt en accouchant, un jeune Italien entre en conflit avec sa belle-famille anglaise au sujet de la garde de l'enfant. Adaptation délicate et sensible d'un roman de E.M. Forster. Différences culturelles habilement illustrées. Interprétation nuancée.

Where Angels Fear to Tread (Where Angels Fear to Tread)

Général

G.-B. 1991. Comédie dramatique de Charles Sturridge avec Helen Mirren, Rupert Graves, Helena Bonham Carter.

Lorsque sa femme meurt en accouchant, un jeune Italien entre en conflit avec sa belle-famille anglaise au sujet de la garde de l'enfant. Adaptation délicate et sensible d'un roman de E.M. Forster. Différences culturelles habilement illustrées. Interprétation nuancée.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1991

Durée :

113 min.

Réalisation :

Charles Sturridge

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

C/FP

Interprètes :

Helen Mirren
Rupert Graves
Helena Bonham Carter

Au début du siècle, Lilia Herriton, une riche veuve anglaise, s'éprend de l'Italie et de Gino Carella, un pauvre Toscan qui a la moitié de son âge. Avant même que la famille de Lilia n'ait eu le temps de s'interposer entre eux, les deux tourtereaux se sont retrouvés mariés. Possessif et violent, le jeune homme en vient à rendre la vie impossible à son épouse qui finit par mourir en accouchant. Naît alors une querelle entre Gino, sa belle-famille anglaise et Caroline Abbott, une amie de Lilia, au sujet de la garde de l'enfant.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Dans cette adaptation délicate et sensible du premier roman de E.M. Forster ("A Room with a View", "A Passage to India", "Maurice"), une unité de ton a été parfaitement maintenue malgré la juxtaposition de deux histoires. La confrontation de deux cultures différentes est mise en relief par des décors et des costumes reflétant bien les tempéraments passionnés des uns et collet monté des autres. Tout en décrivant avec sobriété la beauté des paysages italiens, le réalisateur de A HANDFUL OF DUST parvient à bien souligner l'étroitesse de vue de chacun en multipliant les scènes intérieures et les plans rapprochés. Contenu et nuancé, le jeu de la plupart des comédiens contraste avec celui très coloré de Judy Davis.

Texte : Sylvie Beaupré

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