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The Voyager (Homo Faber)

All. 1991. Mélodrame de Volker Schlöndorff avec Sam Shepard, Julie Delpy, Barbara Sukowa. Lors d'un séjour en Europe, un ingénieur américain s'éprend d'une jeune femme dont il apprend qu'elle est la fille d'une amie d'études. Tragédie classique souvent pathétique. Cadrage soigné. Ensemble trop léché pour être d'un réalisme convaincant. Mise en scène maîtrisée. Interprétation de qualité.

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The Voyager (Homo Faber)

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All. 1991. Mélodrame de Volker Schlöndorff avec Sam Shepard, Julie Delpy, Barbara Sukowa.

Lors d'un séjour en Europe, un ingénieur américain s'éprend d'une jeune femme dont il apprend qu'elle est la fille d'une amie d'études. Tragédie classique souvent pathétique. Cadrage soigné. Ensemble trop léché pour être d'un réalisme convaincant. Mise en scène maîtrisée. Interprétation de qualité.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Max Films
En 1957, lors d'un atterrissage forcé dans un désert sud-américain, l'ingénieur Walter Faber fait la connaissance du frère de Joachim Hencke, un ami d'études. Avant la guerre, ce dernier avait épousé Hannah, alors que celle-ci attendait un enfant de Walter. Parti sur un coup de tête à la recherche de son ami, Walter découvre qu'il s'est suicidé. De retour à New York, l'ingénieur-saute dans un bateau en partance pour la France en vue d'y assister à un congrès. A bord, il s'éprend de la jeune Elisabeth qu'il amène en voiture en Italie. Walter est cependant fort perturbé d'apprendre que sa compagne est la fille d'une certaine Hannah Hencke.

L’AVIS DE MEDIAFILM

De flash-back en flash-back, ce récit se présente comme un enchaînement de coïncidences qui entraînent les protagonistes vers un destin inexorable. Cette insondable fatalité s'apparente évidemment beaucoup plus à la tragédie classique qu'à une quelconque réalité, tant le pathétique des situations est souligné à gros traits. Néanmoins, l'histoire se laisse suivre avec intérêt; la qualité de l'interprétation et la maîtrise de la mise en scène y étant sûrement pour quelque chose. Un soin particulier est d'ailleurs apporté à chaque cadrage, ce qui, paradoxalement, infuse un côté artificiel aux plans d'ensemble, souvent trop léchés pour être d'un réalisme convaincant.

Texte : Christian Depoorter

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