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The Living End

É.-U. 1991. Drame de moeurs de Gregg Araki avec Mike Dytri, Craig Gilmore, Darcy Marta. Un jeune écrivain séropositif vit une relation amoureuse intense avec un vagabond lui aussi atteint du sida et dont le désespoir l'entraîne dans des actions autodestructrices. Dialogues au style simple et direct. Sujet traité sur un ton d'ironie acerbe. Réalisation fruste mais efficace. Jeu détaché des acteurs.

18 ans + (violence, érotisme)
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The Living End (The Living End)

18 ans + (violence, érotisme) 18 ans + (violence, érotisme)

É.-U. 1991. Drame de moeurs de Gregg Araki avec Mike Dytri, Craig Gilmore, Darcy Marta.

Un jeune écrivain séropositif vit une relation amoureuse intense avec un vagabond lui aussi atteint du sida et dont le désespoir l'entraîne dans des actions autodestructrices. Dialogues au style simple et direct. Sujet traité sur un ton d'ironie acerbe. Réalisation fruste mais efficace. Jeu détaché des acteurs.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Atlantis Vivafilm
Le jour même où John apprend qu'il est séropositif, il fait la connaissance de Luke, un jeune vagabond, lui aussi atteint de la terrible maladie. Les deux jeunes gens s'amourachent l'un de l'autre, mais John supporte difficilement le nihilisme de son nouveau copain qui se défoule volontiers en recourant au crime. Malgré tout, et même après que Luke ait tué un policier, John accepte de partir avec lui pour un périple improvisé. Leur relation amoureuse s'intensifie au fil des jours, mais le désespoir de Luke l'entraîne dans des actions de plus en plus autodestructrices.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Produite avec un budget extrêmement réduit, cette oeuvre réussit à rendre crédible et touchante la relation amoureuse entre deux personnages au tempérament diamétralement opposé. L'auteur explore avec sensibilité la rage et la douleur qui unissent les deux héros, et cela au moyen d'observations souvent banales mais qui sonnent toujours juste. Les dialogues sont particulièrement bien écrits, dans un style simple et direct où perce souvent une ironie acerbe. Le ton du film passe aisément du drame à la comédie corrosive et le jeu détaché des acteurs s'en accommode fort bien. La réalisation est fruste mais néanmoins efficace.

Texte : Martin Girard

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