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The Ballad of the Sad Cafe

É.-U. 1991. Drame de moeurs de Simon Callow avec Vanessa Redgrave, Keith Carradine, Cork Hubbert. Durant la Dépression, une commerçante virago, redoutée par toute sa communauté, se laisse séduire par un nain qui s'installe chez elle. Scénario parfois déroutant. Structure dramatique trop épisodique. Réalisation stylisée. Montage dynamique. Interprétation magistrale de V. Redgrave.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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The Ballad of the Sad Cafe (The Ballad of the Sad Cafe)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1991. Drame de moeurs de Simon Callow avec Vanessa Redgrave, Keith Carradine, Cork Hubbert.

Durant la Dépression, une commerçante virago, redoutée par toute sa communauté, se laisse séduire par un nain qui s'installe chez elle. Scénario parfois déroutant. Structure dramatique trop épisodique. Réalisation stylisée. Montage dynamique. Interprétation magistrale de V. Redgrave.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Durant la Dépression, Miss Amelia, une virago, détient un pouvoir indéniable dans un petit village du sud des États-Unis. Gérante d'une plantation de piments et du seul magasin général, elle est redoutée par toute sa communauté mais cela ne l'empêche pas de se révéler très généreuse envers un nain qui se présente un soir en déclarant être un cousin lointain. Magicien et fin manipulateur, ce dernier a tôt fait de persuader Amelia de transformer son magasin en café pour augmenter encore les profits. Tout va bien jusqu'au jour où Marvin Bracy, le mari esseulé de Miss Amelia, réapparaît dans le patelin.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'il faut en juger par cette première réalisation, Simon Callow est voué à une carrière intéressante au cinéma. Son film propose un portrait à la fois excentrique et touchant d'un personnage unique, interprété magistralement par Vanessa Redgrave. Si le reste de l'interprétation s'avère inégal, Rod Steiger est cependant renversant dans un tout petit rôle de soutien. La mise en scène ne déçoit jamais malgré un scénario parfois déroutant, une structure dramatique trop épisodique et des personnages secondaires peu développés. Fort stylisée, la réalisation incorpore parfaitement théâtralité et montage dynamique. Le travail sur la couleur est également fort saisissant.

Texte : Johanne Larue

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