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Slacker

É.-U. 1991. Film à sketches de Richard Linklater avec Richard Linklater, Rudy Basquez, Jean Caffeine. Un bref moment dans la vie d'une centaine de Texans qui, en solo ou en petits groupes, vaquent à leurs occupations. Enchaînement arbitraire de courtes scènes. Ensemble sympathique bien que limité. Style pseudo-documentaire assez souple. Jeu convaincu de non-professionnels.

Général
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Slacker (Slacker)

Général Général

É.-U. 1991. Film à sketches de Richard Linklater avec Richard Linklater, Rudy Basquez, Jean Caffeine.

Un bref moment dans la vie d'une centaine de Texans qui, en solo ou en petits groupes, vaquent à leurs occupations. Enchaînement arbitraire de courtes scènes. Ensemble sympathique bien que limité. Style pseudo-documentaire assez souple. Jeu convaincu de non-professionnels.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
La trame narrative est constituée d'un enchaînement de courtes scènes qui n'ont aucun lien véritable entre elles, hormis l'unité de lieu et de temps: à Austin, au Texas, durant le cours d'une même journée. On partage ainsi un bref moment dans la vie d'une centaine de personnages qui, en solo ou en petits groupes, vaquent à leurs occupations. Cela commence par un jeune homme qui raconte son dernier rêve à un chauffeur de taxi. Il est ensuite témoin d'un accident impliquant une femme et son fils. Ce dernier est appréhendé par la police. Un musicien assiste à la scène, puis reçoit l'aumône d'une passante qui poursuit son chemin vers un café où elle rejoint des amis. Et ainsi de suite...

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le terme "slacker" s'emploie pour définir une personne qui ne joue pas un rôle actif dans la société. Ce film vise tout particulièrement les jeunes qui passent leur temps à flâner ou à réinventer le monde dans des cafés. Les scènes s'enchaînent arbitrairement; le spectateur est donc captif des caprices de l'auteur qui passe d'un tableau à un autre sans crier gare. Bien qu'assez limité, l'ensemble demeure sympathique et parfois drôle. La mise en scène, de style pseudo-documentaire, est assez souple malgré des moyens indigents. Des interprètes non professionnels se prêtent au jeu avec conviction.

Texte : Martin Girard

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