Scanners II: Le Nouveau Règne (Scanners II: The New Order)

Name: Scanners II: Le Nouveau Règne
Director: Christian Duguay
Genre: Science-fiction
Duration: 104 min.

Can. 1991. Science-fiction de Christian Duguay avec David Hewlett, Yvan Ponton, Deborah Raffin. Un policier utilise des humains dotés de pouvoirs paranormaux pour éliminer ses ennemis et gravir les échelons du pouvoir. Scénario mal structuré et sans imagination. Suite de situations peu crédibles. Réalisation monotone. Effets spéciaux convenus. Interprétation fade.

Scanners II: Le Nouveau Règne (Scanners II: The New Order)

13 ans +

Can. 1991. Science-fiction de Christian Duguay avec David Hewlett, Yvan Ponton, Deborah Raffin.

Un policier utilise des humains dotés de pouvoirs paranormaux pour éliminer ses ennemis et gravir les échelons du pouvoir. Scénario mal structuré et sans imagination. Suite de situations peu crédibles. Réalisation monotone. Effets spéciaux convenus. Interprétation fade.

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Genre :

Année :

Durée :

Réalisation :

Pays :

Canada

Distributeur :

Malofilm

Interprètes :

David Hewlett
Yvan Ponton
Deborah Raffin

Policier dans une grande ville, Forester veut utiliser des Scanners pour éliminer ses ennemis et gravir rapidement les échelons du pouvoir. Les Scanners sont des humains dotés de pouvoirs paranormaux: ils peuvent provoquer à distance la mort d'une victime et lire dans les pensées. Le défi de Forester est de trouver un Scanner docile. Etudiant en médecine vétérinaire, David semble correspondre parfaitement aux désirs du policier. D'abord coopératif, ce jeune Scanner finit par se révolter et un duel s'engage entre lui et le policier. Ce dernier fait appel à un autre Scanner pour affronter David.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le premier SCANNERS, réalisé en 1981 par David Cronenberg, doit sa notoriété à quelques effets spéciaux impressionnants. Pour le reste, il s'agit d'une oeuvre très mineure. Mais c'est déjà mieux que cette suite qui frôle plus souvent qu'autrement le ridicule. Le scénario manque totalement d'imagination, en plus d'être mal structuré. Il en résulte une suite de situations peu crédibles qui s'enchaînent de façon arbitraire. La réalisation est monotone et les effets spéciaux ne parviennent pas à surprendre, tant ils sont convenus. L'interprétation est fade.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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