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Rock-o-Rico (Rock-a-Doodle)

Irl. 1991. Dessins animés de Don Bluth . Un gamin transformé en chat tente de déjouer les plans d'un hibou sorcier qui veut faire régner une nuit d'orage éternelle sur la campagne. Mélange d'éléments de contes classiques et de satire moderne. Rythme endiablé. Animation souple et techniquement brillante. Personnages conventionnels mais sympathiques.

Général
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Rock-o-Rico (Rock-a-Doodle)

Général Général

Irl. 1991. Dessins animés de Don Bluth .

Un gamin transformé en chat tente de déjouer les plans d'un hibou sorcier qui veut faire régner une nuit d'orage éternelle sur la campagne. Mélange d'éléments de contes classiques et de satire moderne. Rythme endiablé. Animation souple et techniquement brillante. Personnages conventionnels mais sympathiques.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Tous les jours, le coq Chanticleer se réveille à l'aube et chante pour faire lever le soleil, à la grande joie de tous ses amis de la ferme. Seul le Duc, un hibou sorcier, déteste la lumière du jour. Il s'arrange donc pour humilier publiquement son ennemi le coq et le forcer à s'exiler en ville. Du haut de son arbre géant, le Duc célèbre sa victoire en provoquant un terrible orage qui menace d'inonder la ferme où vit le petit Edmond. L'enfant tente d'alerter Chanticleer, ce qui lui vaut d'être transformé en chat par le Duc. Mais Edmond, aidé par les amis du coq, un chien, une souris et une pie, échappe au Duc qui veut le dévorer et met le cap sur la grande ville pour tenter de retrouver Chanticleer qui, entre-temps, est devenu un chanteur vedette.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur de AN AMERICAN TAIL et de THE LAND BEFORE TIME démontre à nouveau sa grande maîtrise du film d'animation avec ce ROCK-A-DOODLE endiablé. La première partie du film, située à la campagne, évoque un style de dessins animés assez près du genre classique des studios Disney. La suite se déroule dans un contexte urbain caricatural qui rappelle les cartoons satiriques à la Tex Avery. Les deux genres cohabitent avec bonheur sans jamais se court-circuiter. Le film démarre sur les chapeaux de roues et se maintient au même rythme jusqu'à la fin. L'animation, techniquement brillante, s'avère souple et mouvementée à souhait. Les personnages demeurent assez conventionnels mais sympathiques.

Texte : Martin Girard

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