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Robe noire (Black Robe)

Can. 1991. Drame historique de Bruce Beresford avec Lothaire Bluteau, August Schellenberg, Aden Young. En Nouvelle-France, au 17e siècle, un missionnaire entreprend un voyage périlleux pour atteindre un campement huron. Ensemble austère. Paysages grandioses filmés de façon saisissante. Réalisation efficace. Jeu intériorisé de L. Bluteau.

13 ans + (violence)
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Robe noire (Black Robe)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

Can. 1991. Drame historique de Bruce Beresford avec Lothaire Bluteau, August Schellenberg, Aden Young.

En Nouvelle-France, au 17e siècle, un missionnaire entreprend un voyage périlleux pour atteindre un campement huron. Ensemble austère. Paysages grandioses filmés de façon saisissante. Réalisation efficace. Jeu intériorisé de L. Bluteau.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Récompenses
Au temps de Samuel de Champlain, envoyé en mission sur la rivière du Saguenay, le jeune père Laforgue tente d'atteindre un campement huron avant la venue de l'hiver. Pour lui servir d'interprète, Laforgue amène avec lui un jeune menuisier français. Celui-ci a tôt fait de s'amouracher de la fille du chef algonquin chargé de protéger Laforgue, que tous surnomment d'ailleurs Robe Noire. En cours de route, les membres de l'expédition tombent aux mains des Iroquois, ce qui compromet dangereusement la mission du jeune jésuite.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Fruit d'une première co-production entre le Canada et l'Australie, BLACK ROBE a bénéficié de gros moyens et cela transparaît à l'écran. Le paysage canadien, filmé de façon saisissante, sert de support au développement psychologique du personnage principal, tour à tour effrayé et transfiguré par la nature qui l'entoure. Si le récit est sans grande surprise et le propos peu audacieux, la réalisation demeure efficace, surtout dans sa création d'un climat onirique. L'ensemble demeure austère, mais est illuminé par le jeu intériorisé de Lothaire Bluteau.

Texte : Johanne Larue

COMMENTAIRES

19 août 2018, 07:47:58

Par : Michaël Gagnon, Sherbrooke

Scénario simple inspiré d’un fait réel. Réalisation sérieuse. Mise en scène crédible maximisant l’effet d’isolement. Traitement sombre, réaliste, direct et cru. Intensité dramatique moyenne. Photographie sauvage magnifique. Bons interprètes.

J'attribue à ce film la Cote 3


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