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Retour au lagon bleu (Return to the Blue Lagoon)

É.-U. 1991. Drame de William A. Graham avec Milla Jovovich, Brian Krause, Lisa Pelikan. Naufragés sur une île déserte, deux enfants doivent affronter seuls les périls de la vie. Climat d'irréalisme romantique. Exotisme de carte postale. Psychologie primaire. Mise en scène simpliste. Jeu très limité des jeunes interprètes.

Général
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Retour au lagon bleu (Return to the Blue Lagoon)

Général Général

É.-U. 1991. Drame de William A. Graham avec Milla Jovovich, Brian Krause, Lisa Pelikan.

Naufragés sur une île déserte, deux enfants doivent affronter seuls les périls de la vie. Climat d'irréalisme romantique. Exotisme de carte postale. Psychologie primaire. Mise en scène simpliste. Jeu très limité des jeunes interprètes.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Columbia
En 1897, un voilier naviguant de Tahiti à San Francisco croise une embarcation à la dérive. L'équipage du navire y découvre les dépouilles d'un jeune couple et un garçonnet, miraculeusement vivant. L'enfant est confié à la veuve d'un pasteur, Sarah Margrave, qui le baptise Richard. Une épidémie de choléra éclate bientôt à bord et Richard, Sarah et sa petite fille Lilli doivent quitter le bateau. Le hasard les fait échouer sur l'île même où les parents de Richard avaient vécu. Le trio s'installe dans la cabane érigée par les défunts et Sarah éduque de son mieux les bambins jusqu'à sa mort prématurée. Plusieurs années passent et les deux adolescents doivent affronter seuls les périls de la vie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette prétendue suite au film réalisé par Randal Kleiser en 1980 se contente en fait d'en reprendre tous les éléments, y compris l'exotisme de carte postale et le climat d'irréalisme romantique déjà exploités dans l'original, On se demande d'ailleurs ce qui a bien pu motiver les producteurs à réaliser si tardivement ce pâle "remake", que même une superbe photographie aux Iles Fidji n'arrive pas à sauver du naufrage. Une mise en scène aussi primaire que la psychologie des personnages ne fait qu'accumuler les clichés et les lieux communs. Le jeu très limité des jeunes interprètes ne vient guère renflouer l'entreprise.

Texte : André Caron

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