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Prince Lazure

Can. 1991. Comédie sentimentale de Danièle J. Suissa avec Patrick Fierry, Mitsou, Jean-Pierre Bergeron. Le chef d'un empire industriel s'éprend d'une jeune réceptionniste qui l'aidera à contrer les manoeuvres d'un cadre ambitieux. Conte de fées moderne mettant l'accent sur des valeurs matérialistes. Intrigue mince et prévisible. Mise en scène peu substantielle. Interprétation insignifiante. (sortie en salle: 3 juillet 1992)

Général
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Prince Lazure (Prince Lazure)

Général Général

Can. 1991. Comédie sentimentale de Danièle J. Suissa avec Patrick Fierry, Mitsou, Jean-Pierre Bergeron.

Le chef d'un empire industriel s'éprend d'une jeune réceptionniste qui l'aidera à contrer les manoeuvres d'un cadre ambitieux. Conte de fées moderne mettant l'accent sur des valeurs matérialistes. Intrigue mince et prévisible. Mise en scène peu substantielle. Interprétation insignifiante. (sortie en salle: 3 juillet 1992)

Année :
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Astral
Producteurs :
Hypocondriaque, Louis-Paul Prince-Lazure est plus occupé à chasser les microbes qu'à gérer son empire industriel. Un pur, il fait la connaissance de Lili Benetto, une réceptionniste pétillante de vie qui Je séduit immédiatement Tout à l'émerveillement de cet amour naissant, le businessman ne réalise pas que Vallier, le directeur de sa seule filiale déficitaire, a contacté la concurrence en vue de lancer une O.P.A. sur les actions du groupe dont il est responsable. Ayant refusé de se faire soudoyer par Vallier, Lili propose à son fiancé de les prendre de vitesse en faisant acheter la compagnie par son père, propriétaire d'une pizzeria. Mis au courant de la combine, Vallier kidnappe la jeune fille pour faire pression sur Louis-Paul.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Etonnamment, ce conte de fée moderne met bien plus l'accent sur les valeurs matérialistes qu'il véhicule que sur la mièvre et peu crédible amourette à l'eau de rose qui lui sert presque de toile de fond. Le scénario d'une minceur cadavérique s'avère on ne peut plus prévisible. Les rebondissements de l'intrigue, quand il y en a, semblent plus exister pour meubler le temps que pour participer à l'évolution d'une histoire. La mise en scène peu substantielle est évacuée à la va-vite. Seule la photographie mérite quelque considération dans cet ensemble fort pauvre. L'interprétation générale se révèle singulièrement insignifiante.

Texte : Christian Depoorter

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