Pablo qui court

Name: Pablo qui court
Director: Bernard Bergeron
Genre: Drame
Duration: 80 min.

Can. 1991. Drame de Bernard Bergeron avec Jean-François Pichette, Louise Laprade, Pierre Chagnon. Un jeune délinquant vagabond devient l'amant d'une accordéoniste qui gagne sa vie en jouant dans le métro. Récit vide et brouillon. Exercice de style maniéré. Montage dépourvu de rythme. Personnages simplistes. Interprètes mal dirigés.

Pablo qui court (Pablo qui court)

13 ans +

Can. 1991. Drame de Bernard Bergeron avec Jean-François Pichette, Louise Laprade, Pierre Chagnon.

Un jeune délinquant vagabond devient l'amant d'une accordéoniste qui gagne sa vie en jouant dans le métro. Récit vide et brouillon. Exercice de style maniéré. Montage dépourvu de rythme. Personnages simplistes. Interprètes mal dirigés.

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Genre :

Drame

Année :

1991

Durée :

80 min.

Réalisation :

Bernard Bergeron

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

C/FP

Producteurs :

Interprètes :

Jean-François Pichette
Louise Laprade
Pierre Chagnon

Pablo est un jeune délinquant qui passe son temps à traîner dans la rue et qui vit de vols à la tire. Un jour dans le métro, il s'empare du peu d'argent que s'était fait une accordéoniste. Celle-ci le croise peu après et se venge en lui assenant un coup de genou bien placé. Intrigué par cette femme, Pablo cherche à la revoir et, bientôt, ces deux êtres perdus finissent par devenir amants. Surpris en train de chipoter dans les économies de sa maîtresse, le jeune homme s'enfuit sans réfléchir. Accompagné de ses copains, le fils de la musicienne se lance à sa poursuite, bien décidé à lui faire la peau.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Partant d'une idée de base qui aurait pu être intéressante, cette réalisation a abouti à un résultat d'une lourdeur navrante. Le récit particulièrement vide et brouillon que le metteur en scène s'avère incapable de contrôler et de mener à terme n'offre guère que clichés et artifices. L'ensemble apparaît comme un exercice de style maniéré et complètement raté. Un montage sans aucune notion de rythme ou de continuité gâche une photographie pourtant relativement correcte. Dépeints en termes simplistes, les personnages sont interprétés de piètre manière par des acteurs mal dirigés.

Texte : Christian Depoorter

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