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My Father Is Coming

All. 1991. Comédie dramatique de Monika Treut avec Alfred Edel, Shelly Kästner, Annie Sprinkle. Une jeune Allemande qui occupe un modeste emploi de serveuse à New York prétend être mariée et prospère lorsque son père lui rend visite. Scénario mince sur le thème du rêve américain démythifié. Un certain humour. Personnages bien typés. Mise en scène approximative. Interprétation inégale.

18 ans +
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My Father Is Coming (My Father Is Coming)

18 ans + 18 ans +

All. 1991. Comédie dramatique de Monika Treut avec Alfred Edel, Shelly Kästner, Annie Sprinkle.

Une jeune Allemande qui occupe un modeste emploi de serveuse à New York prétend être mariée et prospère lorsque son père lui rend visite. Scénario mince sur le thème du rêve américain démythifié. Un certain humour. Personnages bien typés. Mise en scène approximative. Interprétation inégale.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Del Fuego
Une jeune Allemande, Vicky, est venue vivre aux Etats-Unis dans l'espoir d'y faire carrière comme actrice, mais son rêve tarde à se concrétiser. Elle passe souvent des auditions, sans pour autant décrocher les rôles convoités, et elle se contente, pour l'instant, de travailler comme serveuse dans un restaurant. Lorsque son père arrive d'Allemagne pour lui rendre visite, Vicky craint qu'il veuille la convaincre de repartir avec lui s'il constate son échec. Afin d'éviter cela, elle obtient l'aide de ses amis pour prétendre qu'elle est mariée et prospère. Le vieil homme ne se laisse pourtant pas mystifier et un conflit éclate entre lui et sa fille.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Produit avec des moyens financiers visiblement modestes, ce film est une énième variation sur un thème usé: le rêve américain démystifié par la dure réalité. Le contexte social que décrit la réalisatrice, un New York marginal et un peu décadent, n'apparaît pas non plus comme une grande nouveauté. Le scénario est mince, malgré la courte durée du film, et il manque de rigueur. L'intérêt du spectateur surnage tout de même un peu grâce à un certain humour pince-sans-rire et à des personnages bien typés. La mise en scène est approximative et le jeu fortement inégal d'un interprète à l'autre.

Texte : Martin Girard

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