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Mortelle amnésie (Shadows of the Past)

Can. 1991. Drame policier de Gabriel Pelletier avec Erika Anderson, Nicholas Campbell, Richard Berry. Alors que la police s'intéresse à elle, une journaliste souffrant d'amnésie s'aperçoit qu'elle est suivie par un personnage mystérieux. Téléfilm à l'intrigue convenue et prévisible. Enfilade de clichés. Mise en scène médiocre. Interprétation artificielle.

En attente de classement
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Mortelle amnésie (Shadows of the Past)

En attente de classement En attente de classement

Can. 1991. Drame policier de Gabriel Pelletier avec Erika Anderson, Nicholas Campbell, Richard Berry.

Alors que la police s'intéresse à elle, une journaliste souffrant d'amnésie s'aperçoit qu'elle est suivie par un personnage mystérieux. Téléfilm à l'intrigue convenue et prévisible. Enfilade de clichés. Mise en scène médiocre. Interprétation artificielle.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Astral
Victime d'un accident de voiture, Jackie Delanay, une jeune reporter américaine, se retrouve frappée d'amnésie sélective. Elle se souvient d'avoir réalisé un reportage en Afrique du Sud, mais ignore ce qu'elle est venue faire à Montréal et qui est Daniel Martin, l'homme qui l'accompagnait lors de l'accident et dont le corps n'a pas été retrouvé. Après avoir reçu la visite de Sara, une présumée amie de Daniel venue lui poser quelques questions, Jackie quitte l'hôpital et découvre qu'elle est sous surveillance policière. L'agent affecté à cette tâche, Sean MacFen, entreprend de l'aider à élucider l'affaire. Tous deux finissent par s'engager dans une relation amoureuse, tandis que de dangereux individus ne cessent de traquer Jackie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Construit sur une enfilade de clichés, ce téléfilm progresse de manière aussi convenue que prévisible sur un rythme des plus amorphes. Aucune idée vraiment originale ne permet à ce mélange de sentiments et d'aventures d'aller plus loin que la simple romance à Teau de rose et le suspense facile. La mise en scène, tout comme le reste, plafonne à un niveau proche de l'amateurisme. Si la photographie s'avère toutefois correcte, en particulier dans les plans de l'accident, on ne peut en dire autant de la direction d'acteurs, souvent insuffisante, qui semble confiner l'interprétation à l'artificialité et au cabotinage. Malgré tous leurs efforts, Erika Anderson et Richard Berry font preuve d'un jeu très limité.

Texte : Yves Rivard

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