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Mémoire traquée (Lapse of Memory)

Can. 1991. Drame psychologique de Patrick Dewolf avec Mathew Mackay, John Hurt, Marthe Keller. Aidé d'une psychiatre, un adolescent amnésique parvient à se souvenir de son passé dans l'Ouest canadien. Curieuse histoire de secret familial mâtinée d'espionnage. Intrigue compliquée à souhait. Quelques moments de tension assez réussis. Mise en scène plutôt paresseuse. Interprétation convenable.

Général
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Mémoire traquée (Lapse of Memory)

Général Général

Can. 1991. Drame psychologique de Patrick Dewolf avec Mathew Mackay, John Hurt, Marthe Keller.

Aidé d'une psychiatre, un adolescent amnésique parvient à se souvenir de son passé dans l'Ouest canadien. Curieuse histoire de secret familial mâtinée d'espionnage. Intrigue compliquée à souhait. Quelques moments de tension assez réussis. Mise en scène plutôt paresseuse. Interprétation convenable.

Aidé d'une psychiatre, un adolescent amnésique, Bruce Farmer, parvient à se souvenir de son passé récent. C'est ainsi qu'il se rappelle que, vivant dans l'Ouest canadien, il était convaincu que ses parents voulaient l'éliminer depuis qu'il pensait avoir découvert qu'il n'était pas leur vrai fils. Son père lui révéla alors que douze ans auparavant, il avait témoigné aux États-Unis en tant que journaliste devant une commission d'enquête sur la mafia. S'étant fait piéger, il avait dû disparaître officiellement et s'était enfui avec sa famille au Canada, sous une fausse identité. Bruce écrivit alors une nouvelle inspirée de ces faits que sa copine Patrick-Melody fit publier, sans imaginer qu'elle mettait en danger la vie de la famille Farmer.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Co-scénariste de plusieurs films de Patrice Leconte et réalisateur de MOI VOULOIR TOI, Patrick Dewolf aborde un nouveau registre avec cette curieuse histoire de secret familial mâtinée d'espionnage. Hélas, le résultat n'est guère concluant. La mise en scène plutôt paresseuse réserve toutefois quelques moments de tension assez réussis qu'accentue une illustration à dominante orangée. L'intrigue compliquée à souhait n'évite pas certaines maladresses scénaristiques et aboutit à une finale qui manque nettement d'impact. Néanmoins, l'interprétation s'avère convenable dans l'ensemble.

Texte : Louis-Paul Rioux

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