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Light Sleeper

É.-U. 1991. Drame de moeurs de Paul Schrader avec Willem Dafoe, Susan Sarandon, Dana Delany. Un livreur de drogue se met à se questionner sur le bien-fondé de ses activités illicites et prend conscience de sa solitude. Variations originales sur les thèmes du vice et de la rédemption. Mise en scène précise. Atmosphère ouatée. Interprétation assurée.

13 ans + (langage vulgaire)
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Light Sleeper (Light Sleeper)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 1991. Drame de moeurs de Paul Schrader avec Willem Dafoe, Susan Sarandon, Dana Delany.

Un livreur de drogue se met à se questionner sur le bien-fondé de ses activités illicites et prend conscience de sa solitude. Variations originales sur les thèmes du vice et de la rédemption. Mise en scène précise. Atmosphère ouatée. Interprétation assurée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Livreur de drogue, John Letour ne s'est jamais questionné sur le bien-fondé de ses activités illicites jusqu'au jour où, souffrant d'insomnie, il se met à tenir un journal intime. L'exercice lui fait prendre conscience de sa solitude et de la vacuité de son monde. Ses clients commencent à l'inquiéter, en particulier un certain Tis Bruge que la police soupçonne de meurtre. Alors que John songe à se réformer, il revoit son ancienne amie, Marianne, qui l'avait quitté pour se faire désintoxiquer. Les deux jeunes gens s'aiment toujours mais le drame éclate lorsque John trouve Marianne dans l'appartement de Tis. Le jeune homme se tourne alors vers Ann, sa patronne, qui désire aussi refaire sa vie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec LIGHT SLEEPER, Schrader reprend la thématique du vice et de la rédemption qu'il avait déjà exploitée dans TAXI DRIVER. Cette étude révisée ne vaut pas l'original mais comprend des variantes originales qui retiennent l'attention. Malgré l'impression de déjà-vu, le film se distingue des suspenses hollywoodiens récents par l'importance qu'il accorde au cheminement philosophique de son héros existentialiste. L'utilisation de la voix-off, la précision de la mise en scène et l'onirisme des éclairages confèrent à l'ensemble une atmosphère ouatée qui sied bien au propos de Schrader. L'interprétation est assurée.

Texte : Johanne Larue

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