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Liebestraum

É.-U. 1991. Drame psychologique de Mike Figgis avec Kevin Anderson, Pamela Gildley, Bill Pullman. En se glissant dans une bâtisse abandonnée depuis 30 ans, un architecte est étrangement assailli par des images d'un drame passionnel lointain. Atmosphère pesante bien rendue. Réalisation stylée au rythme lancinant. Interprétation dans la note voulue.

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Liebestraum (Liebestraum)

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É.-U. 1991. Drame psychologique de Mike Figgis avec Kevin Anderson, Pamela Gildley, Bill Pullman.

En se glissant dans une bâtisse abandonnée depuis 30 ans, un architecte est étrangement assailli par des images d'un drame passionnel lointain. Atmosphère pesante bien rendue. Réalisation stylée au rythme lancinant. Interprétation dans la note voulue.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
MGM
Débarquant à Elderstown pour rendre visite à sa mère mourante, Nick Kaminsky retrouve Paul, un camarade d'université qui est devenu un entrepreneur peu sensible aux vestiges du passé. Pourtant, Nick réussit à obtenir de lui l'autorisation d'étudier l'architecture d'un grand magasin abandonné depuis 30 ans et voué à la démolition. En se glissant dans la bâtisse, Nick est étrangement assailli par des images d'un drame passionnel lointain. Sur ces lieux, un mari jaloux aurait abattu des amants avant de se donner la mort. En s'éprenant de Jane, l'épouse de Paul, Nick s'engage de façon insidieuse dans une relation qui rappelle étonnamment les circonstances qui ont abouti dans le passé à ces terribles crimes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Utilisant la fonction de la mémoire comme K. Branagh dans DEAD AGAIN, M. Figgis imprègne son récit d'une ambiance presque irréelle, suggérée par les décors déprimants d'une ville anonyme et par la mise en parallèle de la lente agonie d'une femme traumatisée par son douloureux passé et de la destruction d'un édifice symbole de ce même passé. Une réalisation stylisée au rythme lancinant et une photographie dans les teintes obscures, éclaboussées de rouge et de bleu contrastés, rendent bien cette atmosphère pesante de conflits latents. Cependant, cette dernière a souvent tendance à supplanter l'histoire proprement dite. L'interprétation est dans la note voulue.

Texte : Christian Depoorter

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