Liebestraum
image promotion

Liebestraum

1991
En se glissant dans une bâtisse abandonnée depuis 30 ans, un architecte est étrangement assailli par des images d'un drame passionnel lointain.
Atmosphère pesante bien rendue. Réalisation stylée au rythme lancinant. Interprétation dans la note voulue.

L'avis de Mediafilm

Utilisant la fonction de la mémoire comme K. Branagh dans DEAD AGAIN, M. Figgis imprègne son récit d'une ambiance presque irréelle, suggérée par les décors déprimants d'une ville anonyme et par la mise en parallèle de la lente agonie d'une femme traumatisée par son douloureux passé et de la destruction d'un édifice symbole de ce même passé. Une réalisation stylisée au rythme lancinant et une photographie dans les teintes obscures, éclaboussées de rouge et de bleu contrastés, rendent bien cette atmosphère pesante de conflits latents. Cependant, cette dernière a souvent tendance à supplanter l'histoire proprement dite. L'interprétation est dans la note voulue.

Christian Depoorter

Synopsis

Année

1991

Genre

Drame psychologique

Durée

113 min.

Origine

États-Unis