Les Plaques tectoniques (Tectonic Plates)

Name: Plaques tectoniques, Les
Director: Peter Mettler
Genre: Film d'essai
Duration: 106 min.

Can. 1991. Film d'essai de Peter Mettler avec Michael Benson, Normand Bissonnette, Céline Bonnier. Un homme part pour New York retrouver un ancien amant après avoir discuté avec une enseignante qui l'a également aimé. Adaptation de la pièce de théâtre de Robert Lepage. Récit tortueux et audacieux. Riche discours philosophique. Mise en scène assez inventive. Interprétation retenue souvent touchante.

Les Plaques tectoniques (Tectonic Plates)

Général

Can. 1991. Film d'essai de Peter Mettler avec Michael Benson, Normand Bissonnette, Céline Bonnier.

Un homme part pour New York retrouver un ancien amant après avoir discuté avec une enseignante qui l'a également aimé. Adaptation de la pièce de théâtre de Robert Lepage. Récit tortueux et audacieux. Riche discours philosophique. Mise en scène assez inventive. Interprétation retenue souvent touchante.

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Genre :

Film d'essai

Année :

1991

Durée :

106 min.

Réalisation :

Peter Mettler

Pays :

Canada

Distributeur :

Cinéma libre

Interprètes :

Michael Benson
Normand Bissonnette
Céline Bonnier

De retour à Montréal pour enseigner l'Histoire de l'art, Madeleine revoit Antoine et discute avec lui de l'homme qu'ils ont aimé il y a vingt ans. Cette liaison malheureuse avait provoqué le départ de Madeleine pour Venise, où elle faillit se donner la mort. Deux rencontres fortuites avec un pianiste célèbre et une danseuse empêchèrent son suicide. Madeleine voudrait maintenant retrouver son ancien amant mais c'est Antoine qui part le rejoindre lorsqu'ils apprennent qu'il est à New York. Le jeune homme découvre que son ami se travestit. Pendant ce temps, à Montréal, Madeleine revoit le pianiste de Venise. Ce dernier l'encourage à devenir peintre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le film qu'on a tiré de la pièce évolutive imaginée par le théâtre Repère se rapproche beaucoup de la version scénique présentée à Ottawa en 1991. C'est dire que le récit est plus tortueux, sombre et audacieux que dans la version montréalaise, dont il ne possède toutefois pas l'humour et les envolées poétiques. Le discours philosophique demeure cependant tout aussi riche à l'écran qu'au théâtre. Bien qu'assez inventive, la mise en scène ne surpasse pas en originalité celle, curieusement plus cinématographique, qu'avait imaginée Robert Lepage pour les planches. L'interprétation retenue s'avère souvent touchante.

Texte : Johanne Larue

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