Go to main content
Default image
5

Les Danseurs du Mozambique (The Myth That Wouldn't Die)

Fr. 1991. Drame policier de Philippe Lefebvre avec Erin Gray, Thierry Lhermitte, Jacques François. En vacances dans une cure thermale, une écrivaine est mêlée malgré elle au vol d'une statue mystérieuse provenant du Mozambique. Téléfilm artificiel. Mise en scène correcte bien que plutôt statique. Interprétation peu spontanée.

En attente de classement
5

Les Danseurs du Mozambique (The Myth That Wouldn't Die)

En attente de classement En attente de classement

Fr. 1991. Drame policier de Philippe Lefebvre avec Erin Gray, Thierry Lhermitte, Jacques François.

En vacances dans une cure thermale, une écrivaine est mêlée malgré elle au vol d'une statue mystérieuse provenant du Mozambique. Téléfilm artificiel. Mise en scène correcte bien que plutôt statique. Interprétation peu spontanée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Astral
Kathryn Saint, une auteure de best-sellers, est incapable de terminer son dernier roman ayant pour toile de fond le Mozambique. Elle se rend alors en vacances dans un hôtel chic du Sud de la France, où une vente aux enchères doit avoir lieu. Elle y rencontre Pierre, un séducteur quelque peu énigmatique, qui met en vente une pièce d'art très convoitée: l'un des deux "Danseurs du Mozambique" auxquels se rattache une étrange légende. La veille de l'enchère, la statuette est volée et Kathryn est bousculée durant l'action par le mystérieux cambrioleur. La romancière débute alors son enquête avec l'aide de Pierre. Mais les coups de théâtre se succèdent alors que son partenaire multiplie les mensonges et les excuses.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette légère intrigue policière et sentimentale s'inspire du thème classique de l'artiste projeté dans l'univers de sa création. Idée intéressante en soi certes, mais qui s'essouffle vite, malgré le ton dégagé de l'ensemble, en raison d'une absence d'ironie ou de réflexion sur le travail de création en général. La mise en scène joue souvent sur des données d'un romantisme populaire simpliste. Ce manque de style et de rigueur s'observe surtout dans la direction des acteurs. Il en résulte une interprétation sans grande conviction qui se laisse aller à des mimiques remâchées et prévisibles. Erin Gray parvient tout de même à susciter une certaine sympathie.

Texte : Yves Rivard

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3