Le Temps retrouvé (The Dance Goes On)

Name: Temps retrouvé, Le
Director: Paul Almond
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 106 min.

Can. 1991. Comédie de moeurs de Paul Almond avec Matthew Almond, James Keach, Cary Lawrence. Venu de Los Angeles pour toucher un héritage, un jeune homme se rend à Gaspé avec son père qu'il n'a pas vu depuis des années. Histoire tarabiscotée. Accumulation complaisante de clichés folkloriques sur le Québec. Photographie de carte postale. Interprètes laissés à eux-mêmes.

Le Temps retrouvé (The Dance Goes On)

Général

Can. 1991. Comédie de moeurs de Paul Almond avec Matthew Almond, James Keach, Cary Lawrence.

Venu de Los Angeles pour toucher un héritage, un jeune homme se rend à Gaspé avec son père qu'il n'a pas vu depuis des années. Histoire tarabiscotée. Accumulation complaisante de clichés folkloriques sur le Québec. Photographie de carte postale. Interprètes laissés à eux-mêmes.

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Genre :

Comédie de moeurs

Année :

1991

Durée :

106 min.

Réalisation :

Paul Almond

Pays :

Canada

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Matthew Almond
James Keach
Cary Lawrence

Venu de Los Angeles pour toucher un héritage, le jeune Rick Smith doit accompagner à Gaspé son père, James, qu'il n'a pas vu depuis des années. Le père tente de renouer contact avec son fils, mais ce dernier pense surtout à l'argent qu'il croit pouvoir soutirer de la vente du terrain légué. Arrivé sur place, Rick fait la connaissance du cousin Cyril, un vieil excentrique qui habite toujours la terre ancestrale. Pendant que James est confronté aux mauvais souvenirs qui hantent la demeure, Rick se lie d'amitié avec la fille d'une ancienne fiancée de son père.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il s'agit là d'une entreprise navrante qui ne semble servir qu'à promouvoir les talents relatifs du novice Matthew Almond, fils de Geneviève Bujold et du réalisateur. Ce dernier se contente d'ailleurs d'illustrer platement un scénario qui accumule avec complaisance des clichés folkloriques sur le Québec, témoins d'une époque révolue. Même la photographie ne réussit qu'à établir un sentiment de déjà-vu touristique. Aucune émotion véritable ne parvient à percer de cette histoire tarabiscotée, aux développements parfois risibles. Laissés à eux-mêmes, les comédiens essaient de faire de leur mieux.

Texte : André Caron

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