Can. 1991. Drame fantastique de David Cronenberg avec Peter Weller, Judy Davis, Ian Holm. Après avoir accidentellement tué sa femme, un exterminateur se réfugie dans un étrange pays imaginaire peuplé de créatures bizarres. Adaptation ingénieuse mais un peu pesante du roman de W.S. Burroughs. Climat de mystère dense et fascinant. Touches d'humour absurde. Aspects visuels maîtrisés. Interprètes de talent.
Après avoir accidentellement tué sa femme, un exterminateur se réfugie dans un étrange pays imaginaire peuplé de créatures bizarres. Adaptation ingénieuse mais un peu pesante du roman de W.S. Burroughs. Climat de mystère dense et fascinant. Touches d'humour absurde. Aspects visuels maîtrisés. Interprètes de talent.
En introduisant dans son adaptation du livre de Burroughs des éléments de la biographie de l'auteur, Cronenberg décrit certains aspects de la création du roman. La première partie du film s'avère une grande réussite, tant au plan de l'écriture que du style. Le réalisateur crée un climat de mystère dense et fascinant, agrémenté de plusieurs touches d'humour absurde. Mais l'inspiration du cinéaste s'amenuise par la suite et l'intérêt du spectateur finit par s'effriter. Baignant dans des teintes ocres, le film est plastiquement fort bien maîtrisé. Peter Weller compose avec talent un halluciné.
Texte : Martin Girard
Par : Jason Plante, Gatineau
Excellent film noir sur le monde interlope, melange avec les histoires du "bon" Dieu. Judy Davis dit; on a comme un effet kafka, on deviant un cloporte... Genial! Qui l'a compris??? On a comme un effet kafka, on deviant UNE VERMINE!!! Elle qui se shoutte sa poudre a parasite jusqu'au fond de sa canette. Je ne trouve pas qu'il y a des longueurs, a meme que c'est l'un de mes films preferes de David Cronenberg...
J'attribue à ce film la Cote
Par : Jason Plante, Gatineau
... Et puis d'ailleurs, qui a compris que la coquerelle géante parlait non pas par son nombril, mais par son ANUS!!! Alors imaginez une finale avec notre sainte mère a nous, Fadela, la reine des 'gouines' et que c'est le trou-du-cul du docteur Benway, qui parle dans la bouche de Fadelah??? Réveillez-vous o frères gais, il fau deviner l'apport du bon Dieu qui est présent même dans la tête de notre Mère Perverse FADELA...
J'attribue à ce film la Cote