Go to main content
5

La Fleur du mal 2 - Les Nuits de Blue (Wild Orchid II: Two Shades of Blue)

É.-U. 1991. Drame de moeurs de Zalman King avec Nina Siemaszko, Brent Fraser, Wendy Hughes. À la mort de son père, une jeune fille désemparée accepte à contrecoeur de travailler dans un bordel de luxe. Sujet abordé de façon superficielle et affectée. Dialogues souvent creux. Mise en scène d'un soin maniéré et purement décoratif. Jeu limité des interprètes.

18 ans + (érotisme)
5

La Fleur du mal 2 - Les Nuits de Blue (Wild Orchid II: Two Shades of Blue)

18 ans + (érotisme) 18 ans + (érotisme)

É.-U. 1991. Drame de moeurs de Zalman King avec Nina Siemaszko, Brent Fraser, Wendy Hughes.

À la mort de son père, une jeune fille désemparée accepte à contrecoeur de travailler dans un bordel de luxe. Sujet abordé de façon superficielle et affectée. Dialogues souvent creux. Mise en scène d'un soin maniéré et purement décoratif. Jeu limité des interprètes.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Après la mort de son père, un jazzman drogué qu'elle accompagnait de ville en ville, la jeune Blue se sent seule et désemparée. Elle accepte à contrecoeur de travailler pour "Madame", une tenancière de bordel de luxe. Peu docile, la jeune fille subit les remontrances de sa patronne jusqu'au jour où elle s'enfuit avec son chauffeur, après avoir été agressée par un client. De retour à l'école, Blue y retrouve Josh, un adolescent qui s'était épris d'elle, sans même reconnaître la prostituée avec laquelle il a vécu sa première nuit d'amour. Mais Blue se rend bientôt compte que "Madame" n'a pas dit son dernier mot.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Continuant sur la lancée de son succès (?) précédent, le réalisateur tente d'exploiter le filon jusqu'au bout en gardant le même titre. Le seul lien scénaristique entre les deux FLEUR DU MAL consiste en la description de l'initiation sexuelle de deux jeunes femmes. Toujours aussi superficiel et affecté, le traitement effleure à peine son sujet pour n'en retenir que le côté décoratif. Friande de beaux cadrages, la mise en scène apporte un soin maniéré à l'esthétique des décors et des costumes, sans trop se soucier du potentiel et de la complexité psychologique de son personnage principal. Débitant des dialogues souvent creux, les interprètes comptent plus sur leur physique pour convaincre que sur les qualités limitées de leur jeu.

Texte : Christian Depoorter

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3