L'Année de l'éveil

Name: Année de l'éveil, L'
Director: Gérard Corbiau
Genre: Drame de moeurs
Duration: 102 min.

Bel. 1991. Drame de moeurs de Gérard Corbiau avec Grégoire Colin, Laurent Grévill, Chiara Caselli. Les tribulations d'un jeune orphelin qui poursuit ses études dans un collège militaire. Thème d'une grande profondeur émotionnelle. Traitement appliqué et plutôt distant. Mise en scène sobre. Interprétation de qualité.

L'Année de l'éveil (L'Année de l'éveil)

13 ans +

Bel. 1991. Drame de moeurs de Gérard Corbiau avec Grégoire Colin, Laurent Grévill, Chiara Caselli.

Les tribulations d'un jeune orphelin qui poursuit ses études dans un collège militaire. Thème d'une grande profondeur émotionnelle. Traitement appliqué et plutôt distant. Mise en scène sobre. Interprétation de qualité.

Fiche du film Ajouter à ma liste

Genre :

Drame de moeurs

Année :

1991

Durée :

102 min.

Réalisation :

Gérard Corbiau

Scénario :

Gérard Corbiau
Andrée Corbiau
Michel Fessler
D'après le roman de Charles Juliet

Photographie :

François Catonné

Montage :

Denise Vindevogel

Pays :

Belgique
France

Distributeur :

CinémaPlus

Interprètes :

Grégoire Colin
Laurent Grévill
Chiara Caselli
Martin Lamotte
Claude Duneton
Roger Planchon
Johan Rougeul
Christian Barbier
Vincent Grass
François Vincentelli
Jean-Michel Flagothier
Éric Frère
Stéphane Desvalois

François, un orphelin, poursuit ses études dans un collège militaire alors que la France s'engage dans la guerre d'Indochine. Amateur de boxe, l'adolescent se fait remarquer par Julien, son chef, qui est un ancien champion de ce sport. Invité tous les dimanches chez ce dernier, François découvre la vie de famille et l'amour en la personne de Lena, l'épouse de Julien. Perturbé par cette liaison, l'enfant de troupe doit en plus assister au départ de son chef qui est remplacé par une brute. De punition en punition, François est envoyé au front d'où il revient pour apprendre que Julien est mort après avoir découvert sa relation avec Lena.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La première impression qui se dégage de ce film, c'est l'académisme excessif dont fait preuve Gérard Corbiau. Déjà dans son MAÎTRE DE MUSIQUE, l'esthétique de l'image avait tendance à prendre le pas sur le contenu. Cette fois-ci, malgré un thème d'une grande profondeur émotionnelle, le réalisateur décrit les sentiments de ses personnages avec une telle application distante que même la beauté de ses plans et la sobriété de sa mise en scène n'arrivent pas à donner le relief nécessaire à ce mélodrame. L'interprétation se révèle cependant de qualité; en particulier, celle de Grégoire Colin qui se démarque par son jeu plein de fraîcheur.

Texte : Christian Depoorter

COMMENTAIRES

Ajouter un commentaire

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!