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L'Agent fait la farce 2 1/2 - L'odeur de la peur (The Naked Gun 2 1/2: The Smell of Fear)

É.-U. 1991. Comédie policière de David Zucker avec Leslie Nielsen, Priscilla Presley, George Kennedy. Un policier gaffeur découvre qu'un célèbre savant connu pour ses positions écologiques a été remplacé par un sosie à la solde des industries polluantes. Succession de gags d'une valeur inégale. Humour débridé. Mise en scène mouvementée mais brouillonne. Interprétation honorable.

Général
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L'Agent fait la farce 2 1/2 - L'odeur de la peur (The Naked Gun 2 1/2: The Smell of Fear)

Général Général

É.-U. 1991. Comédie policière de David Zucker avec Leslie Nielsen, Priscilla Presley, George Kennedy.

Un policier gaffeur découvre qu'un célèbre savant connu pour ses positions écologiques a été remplacé par un sosie à la solde des industries polluantes. Succession de gags d'une valeur inégale. Humour débridé. Mise en scène mouvementée mais brouillonne. Interprétation honorable.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Paramount
Lors d'une réception à la Maison Blanche durant laquelle il est félicité pour avoir abattu son millième trafiquant de drogues, le lieutenant Frank Drebin apprend que le président des États-Unis va dorénavant baser sa politique énergétique sur les recommandations du professeur Meinheimer, un savant connu pour ses positions écologiques. Appelé sur les lieux à la suite d'un attentat dans le centre de recherche de l'illustre expert, Frank découvre qu'une de ses anciennes amours, Jane Spencer, est devenue la relationniste de Meinheimer et la maîtresse d'un magnat du pétrole. Malgré sa maladresse congénitale, le policier se rend bientôt compte que le savant a été remplacé par un sosie à la solde des industries polluantes mais il éprouve bien du mal à convaincre la belle Jane que son nouvel amant est un criminel.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après le succès remporté par la première aventure de ce policier gaffeur, David Zucker poursuit dans la même veine, réutilisant ainsi une recette dûment éprouvée. Si les gags se succèdent à un rythme régulier et parviennent à faire mouche à quelques reprises, ils n'évitent pourtant pas la facilité et un certain manque de subtilité. L'humour débridé du réalisateur s'avère aussi mouvementé que sa mise en scène qui n'en paraît que plus brouillonne. Les interprètes s'en tirent assez honorablement sans réellement faire preuve de beaucoup d'originalité.

Texte : Christian Depoorter

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