Go to main content
5

Keeper of the City

É.-U. 1991. Drame policier de Bobby Roth avec Louis Gossett Jr., Anthony LaPaglia, Peter Coyote. Scandalisé par un procès innocentant un mafioso, un père de famille décide d'éliminer un par un les dirigeants de la pègre locale. Téléfilm à l'intrigue peu crédible. Scènes finales tirées par les chevuex. Psychologie des personnages artificielle. Mise en scène honnête sans plus. Effort louable des interprètes.

13 ans +
5

Keeper of the City (Keeper of the City)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 1991. Drame policier de Bobby Roth avec Louis Gossett Jr., Anthony LaPaglia, Peter Coyote.

Scandalisé par un procès innocentant un mafioso, un père de famille décide d'éliminer un par un les dirigeants de la pègre locale. Téléfilm à l'intrigue peu crédible. Scènes finales tirées par les chevuex. Psychologie des personnages artificielle. Mise en scène honnête sans plus. Effort louable des interprètes.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
C/FP
Après avoir subi un procès, un membre du crime organisé est innocenté par un tribunal de Chicago. La nouvelle scandalise Vince Benedetto, un père de famille dont le comportement présente des signes de déséquilibre. Il décide alors d'éliminer un par un les dirigeants de la pègre locale. Une fois le massacre entrepris, Vince quitte sa femme et son fils, qui ne soupçonnent rien, et s'installe de force chez une collègue de travail. Par ailleurs, il envoie des notes anonymes à un journaliste réputé pour ses attaques contre le système judiciaire. Le détective James Delà, chargé de l'enquête, finit par découvrir l'identité du meurtrier.

L’AVIS DE MEDIAFILM

On se demande bien comment ce film réalisé pour la télévision a trouvé son chemin jusque sur nos écrans, car rien ne le distingue des autres téléfilms du même genre. Le scénario suit de façon parallèle les agissements du meurtrier et l'enquête du policier sans parvenir à créer une véritable progression dramatique ou une tension digne de ce nom. L'intrigue devient de moins en moins crédible au fur et à mesure que l'action avance et les scènes finales sont particulièrement tirées par les cheveux. La psychologie des personnages s'avère artificielle au possible, mais les interprètes font un effort louable de conviction. La mise en scène est honnête, sans plus.

Texte : Martin Girard

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3