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Johnny Cure-dent (Johnny Stecchino)

It. 1991. Comédie policière de Roberto Benigni avec Roberto Benigni, Nicoletta Braschi, Paolo Bonacelli. Un pauvre mal-aimé est confondu avec un mafioso repenti à qui toute la Sicile veut faire la peau. Imbroglio fort prévisible et peu enlevant. Quelques gags efficaces. Mise en scène répétitive. Présence naïve et charmante du protagoniste.

Général
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Johnny Cure-dent (Johnny Stecchino)

Général Général

It. 1991. Comédie policière de Roberto Benigni avec Roberto Benigni, Nicoletta Braschi, Paolo Bonacelli.

Un pauvre mal-aimé est confondu avec un mafioso repenti à qui toute la Sicile veut faire la peau. Imbroglio fort prévisible et peu enlevant. Quelques gags efficaces. Mise en scène répétitive. Présence naïve et charmante du protagoniste.

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Dante est un mal-aimé. Son seul copain est un handicapé qu'il conduit chaque jour à l'école. Un soir, à la sortie d'une fête, il est renversé par une voiture conduite par la belle Maria qui s'évanouit à sa vue. Cherchant à revoir cette jeune femme sur qui il a produit un tel effet, Dante force les portes de l'hôtel où elle loge. Maria l'invite alors à Palerme chez son oncle. L'innocent ne devine pas que sa douce est l'épouse du terrible Johnny, un mafioso repenti qui vit caché dans sa cave depuis que toute la Sicile a décidé de lui faire la peau. Dante ressemblant comme deux gouttes d'eau au gangster, l'ingénue Maria le fait passer pour son mari dans l'espoir qu'il se fasse descendre à sa place.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sous couvert d'une comédie légère et divertissante, Roberto Benigni en profite pour tirer quelques flèches acérées sur les liens existant entre la mafia et certains politiciens de son pays. Même si quelques gags arrivent à faire mouche, la mise au point de la mécanique des effets comiques trahit un manque d'invention qui ne fait guère évoluer un genre déjà archiconnu. Les quiproquos se multiplient à qui mieux mieux pour former un imbroglio finalement fort prévisible et peu enlevant. La bonhomie de l'ensemble n'est point servie par une mise en scène qui a tendance à se faire répétitive et poussive. La naïveté et le charme du personnage central ne sont pas sans rappeler certains rôles de Pierre Richard.

Texte : Christian Depoorter

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