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Hudson Hawk, gentleman et cambrioleur (Hudson Hawk)

É.-U. 1991. Comédie policière de Michael Lehmann avec Bruce Willis, Andie MacDowell, Danny Aiello. Un cambrioleur est amené par des truands à dérober une statue de Leonard de Vinci exposée au Vatican et qui recèle un secret étonnant. Péripéties rocambolesques mais peu cohérentes. Imagination débridée. Réalisation brouillonne. Personnages excentriques. Interprètes égaux à eux-mêmes.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Hudson Hawk, gentleman et cambrioleur (Hudson Hawk)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1991. Comédie policière de Michael Lehmann avec Bruce Willis, Andie MacDowell, Danny Aiello.

Un cambrioleur est amené par des truands à dérober une statue de Leonard de Vinci exposée au Vatican et qui recèle un secret étonnant. Péripéties rocambolesques mais peu cohérentes. Imagination débridée. Réalisation brouillonne. Personnages excentriques. Interprètes égaux à eux-mêmes.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Sony Pictures
A sa sortie de prison, Hudson Hawk est forcé de commettre un cambriolage par des truands qu'il croit être de la mafia. Cependant, il devine que l'affaire est plus complexe lorsqu'un Britannique assassine un des mafiosi après avoir détruit l'objet volé, une sculpture de Léonard de Vinci, pour en extraire une pièce de plus grande valeur: une partie du cristal avec lequel l'artiste aurait jadis transformé le plomb en or. A cause de cette invention mythique, Hawk devra confronter la CIA, déjouer les plans d'un couple mégalomane, gagner la confiance d'une jolie espionne du Vatican et ramener son meilleur ami dans le droit chemin.

L’AVIS DE MEDIAFILM

On ne peut pas dire que HUDSON HAWK soit raté parce qu'il est conventionnel ou que son réalisateur manque d'imagination, au contraire. L'action du film est rocambolesque, les personnages sont follement excentriques et la narration, en plus de faire usage d'ellipses audacieuses, est truffée d'éléments insolites. Malheureusement l'ensemble manque de cohésion, la réalisation de discipline et l'humour de finesse. Bref, le résultat déçoit. Michael Lehmann avait fait mieux avec HEATHERS, une production plus modeste. Les interprètes sont égaux à eux-mêmes.

Texte : Johanne Larue

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