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Harley Davidson et l'homme aux santiags (Harley Davidson and the Marlboro Man)

É.-U. 1991. Drame policier de Simon Wincer avec Mickey Rourke, Don Johnson, Chelsea Field. Un motard rebelle et un spécialiste du rodéo entrent en lutte contre un banquier malhonnête. Panoplie du western adaptée à notre époque. Scénario confus. Progression lourde et dépourvue de suspense. Mise en scène superficielle. Interprétation peu convaincue.

13 ans + (violence, langage vulgaire)
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Harley Davidson et l'homme aux santiags (Harley Davidson and the Marlboro Man)

13 ans + (violence, langage vulgaire) 13 ans + (violence, langage vulgaire)

É.-U. 1991. Drame policier de Simon Wincer avec Mickey Rourke, Don Johnson, Chelsea Field.

Un motard rebelle et un spécialiste du rodéo entrent en lutte contre un banquier malhonnête. Panoplie du western adaptée à notre époque. Scénario confus. Progression lourde et dépourvue de suspense. Mise en scène superficielle. Interprétation peu convaincue.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
MGM
Un motard rebelle et philosophe, qui se fait appeler Harley Davidson, fréquente le Rock'n Roll Bar avec son vieux copain, un spécialiste du rodéo surnommé Marlboro Man. Aimant énormément cet endroit, les deux amis décident d'aider le propriétaire qui a des ennuis avec la puissante banque locale. Ils organisent alors le cambriolage d'une fourgonnette de ladite banque. Mais l'opération tourne mal à la suite de l'intervention d'une milice privée. A la surprise des voleurs, le butin se révèle être de la drogue que la banque convoie sous le couvert de transports de fonds. Après avoir monnayé la drogue contre la somme d'argent due par le bar, les motards doivent affronter les sbires du banquier lancés à leurs trousses.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Reprenant toute la panoplie du western en l'adaptant à notre époque, le scénario progresse d'une manière confuse et lourde en oubliant au passage l'ingrédient essentiel qu'est le suspense. Fonctionnelle à défaut d'être originale, là mise en scène paraît pourtant plus s'intéresser aux interminables séquences de fusillades qu'au développement d'une intrigue un tant soit peu crédible et consistante. Débitant tous les clichés d'usage avec un manque chronique de conviction, les interprètes se limitent à des caractérisations unidimensionnelles.

Texte : Christian Depoorter

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